A l'horaire court de gym

Feat Macy Davis (désolé mais ça beug dans le titre)

Aujourd'hui Michael avait court de gym a son horaire et il se demandait bien ce dont cela allait avoir l'air parmi une école ou les gens passait leur temps a se dopé et se frappé dessus.Michael était un inconnu mais son surnom lui était connu comme étant le plus grand voleur en solo de San Francisco.Michael souhait profité de sa nouvelle vie ici pour se faire des amis,avoir une vie et se tenir loin de la police sans toute fois arrêter le crime.Toutefois revenons en a notre court de gym,Michael était très habile vue la pratique qu'il avait et son sport préféré était le Basketball alors il s'était présenté a l'avance comme a son habitude pour se pratiquer a rentrer les paniers.Michael était très doué puis qu'il y avait un terrain quoi qu'en ruine...Un terrain près de chez lui lorsqu'il vivait a san francisco et c'est exactement là qu'il passait tout son temps. Puis il entendit des pas mais n'y prêta pas attention...Pas le moins du monde pour tout dire il était trop occupé a repensé a son arrestation

Est-ce que je me fais virer de l'école si je tue le proviseur? Du moins, j'aimerais le liquider et partir de cet endroit complètement pourri vite fait. Seulement, je n'avais ni batte de baseball pour l'abattre ni couteau pour le déchiqueter, et je venais justement de me faire attraper en tentative de séchage de cour de sport. Pourquoi devais-je aller à ce cour minable dans une salle puant la transpiration, pleine de bruit et où l'on pratique des sports d'équipe? Mon dieu... Comme si moi, j'allais m'amuser à lancer un ballon par dessus un filet... Quelle bande d'idiots. Je hais le volley, et c'est le sport classique que l'on donne aux filles. A moins qu'ils ne trouvent autre chose... Déjà, le règlement exigeait une tenue adéquate pour le sport, mais moi, j'appelais ça un bout de tissu difforme par dessus un pantalon affreux. Pff... Les vestiaires étaient trop petits et tout l'espace était occupé. Je me changeai donc dans les toilettes, puis je trouvai un coin tranquille où déposer mes vêtements.

Finalement, les filles ont été condamnées à jouer au volley. Prévisible. A coté, il y avait quelques garçons qui jouaient au basket. Un sport vraiment stupide, étant donné que le but est de mettre une balle dans un panier. Mais le volley n'a rien de très intelligent non plus. Se faire des passes est quelque peu ennuyeux. Je préférais courir. Au moins, on entretenait mieux sa forme et on prenait l'air. Seulement si on courait dehors... Car courir dans une salle n'a rien d'amusant. Bref, je laissai dériver mes pensées jusqu'à ce qu'une fille me lance la balle. Je la rattrapai, simple réflexe. Elles me regardaient toutes, étant donné que ça faisait 10 minutes qu'on était sur le terrain mais que je ne faisais rien, que j'affichais depuis le début du cours une expression agacée et exaspérée.

- Tu vas jouer, à la fin?! Me lança une blondasse en t-shirt couleur olive.

- Ouais, la voila la balle, répondis-je agressivement.

Je la lui lançai dessus. Joli tir, puisqu'elle la reçu en pleine figure. Elle se mit à pleurer, le nez en sang. Quelle pleurnicheuse... Je ramassai la balle qui avait rebondit vers moi, puis, le prof de sport me hurla d'aller chercher mon carnet de note, surement pour me donner quelques heures de retenue. Je fis demi tour d'un air agacé, levant les yeux au ciel puis je passai à coté du terrain de basket. Il y avait un garçon qui se tenait dos à moi, dans mon chemin. Je lui donnai un coup de coude dans les cotes, juste assez fort pour qu'il se pousse. Je lui lançai un regard noir, méprisant, comme à mon habitude de petite peste.

Je reçu un coup dont j'admirai la précision et m'écarta,sachant très bien que ce n'était pas un des garçons avec qui j'avais joué qui avait pu faire ça,ce n'était que des crétins.Qui tentaient de faire des coups croche sans vraiment savoir ou frappé alors résultat ils finissaient plus mal en point que moi...Puis je me retourna pour voir d'où venait le coup,qui en était à l'origine et je découvris une fille aux airs que je ne saurais décrire,a la fois angélique et rebellé un peu comme "Fille Pas Du Tout Intéressé" ou tout simplement Kim T.

Je lui offris un sourire qui en disait long dont les premiers mot qui sortirent de ma bouche furent "Beau Coup" et a mon regard et mon sourire qui semblait a la fois fier et carnassier on voyait que je parlais autant de celui qu'elle m'avait infligé que de celui qui avait mit le nez en sang a une fille de l'équipe adverse puis je la suivis quelques peu du regard curieux de découvrir ce qui allait advenir d'elle.Puis ma curiosité insatisfaite je lança le ballon au panier sans même y poser regard et je me dirigea vers elle pour la suivre.

Beau coup... Oui, il avait raison, et j'en étais parfaitement satisfaite. Par contre, en observant la façon dont il me souriait, il ne devait pas m'en vouloir énormément. Même pas du tout. Et vu son beau torse musclé que je venais de remarquer, je ne devais pas lui avoir fait très mal. Ah mon avis, il ne devait même pas l'avoir sentit. Puis, je pris un air indifférent, comme s'il n'avait pas existé et je me rendis aux vestiaires, sous le regard du prof qui attendait que je lui donne mon carnet, là où il allait baisser ma cote de comportement ou me mettre des heures de retenues. Super, il ne voudrait plus que je fasse cour de sport. A la limite, encore quelques balles en pleine figures de quelques autres élèves et j'en étais dispensée pour toute l'année.

Pourquoi l'autre imbécile me suivais-il? Je n'avais ni besoin de serviteur ni de garde du corps, je ne suis pas une princesse. Bref, quand on arriva hors de vue du prof, dans les vestiaires, je le plaquai dans un coin du mur, un bras de chaque coté. Enfin... Je l'avais juste un peu poussé, car niveau force, je ne pouvais pas égaler. Puis, je plantai mon regard dans le sien.

- Pourquoi tu me suis? T'es lourd, là. J'ai pas besoin de garde du corps, tu sais, dis-je de mon air exaspéré, avec le regard agacé et méprisant que je lançais à quiconque me regardait ou me parlait.

-Désolé j'imagine que la curiosité vient avec le fait d'être voleur...J'étais curieux de savoir ce qu'il allait advenir de toi.Je suis nouveau dans cette école et j'ai été un peu forcé d'y entré alors excuse moi j'étais simplement curieux.Dit moi tu dois avoir les garçons a tes pieds avec un tel caractère,et un tel visage.Quoi qu'il en soit ne croit tu pas que nous aurions pu commencé par nous présenté avant d'en venir aux coups ? Mon nom est Michael et toi ?

Michael avait l'habitude d'être diplomate car il avait fréquenté la police et en ces circonstances les coups n'était pas de mise.En fait selon Michael les coups était rarement de mises...Michael préférais soit la fuite ou bien..Réussir ses tour de passes passes...

Tiens donc, un voleur. Mais il pouvait garder sa curiosité pour lui, je n’en voulais pas. Je le bloquais toujours dans le coin du mur, ce que je savais complètement inutile puisqu’il pouvait me repousser très facilement. Mais c’était simplement pour que mes mots aient peut-être plus d’impact.

- Macy. Mais écoute moi bien, je vais simplement chercher mon carnet de notes parce qu’on me l’a demandé. Pour faute d’avoir cassé le nez de cette pauvre fille, dis-je en éclatant de rire, mon rire hypocrite avec une pointe de tyrannie. Je suis attirante, je le sais. Mais si je suis si chiante avec les gens que je rencontre, c’est justement pour ne pas m’en encombrer. Apparemment, tu n’as pas l’air de le comprendre. Je ne veux pas de petit chien à tenir en laisse, j’aime les choses imprévisibles et surprenantes.

Il n’y avait pas simplement le fait de ne pas vouloir m’encombrer de gens trop prévisibles et ennuyeux, c’était aussi parce que je prenais du plaisir à voir les gens s’énerver contre moi. Et je riais de leur rage avec ironie. C’est vrai, j’étais assez tyrannique.

Tu es la plus grande preuve qu'un charme peut être ravageur au fond...C'est cool mais c'est pas une laisse mais une chaine qu'il me faudrait pour m'empêcher de faire quoi que ce soit une corde c'est trop facile a défaire qu'en dit tu ? C'est un peu comme comparé ton étreinte a celle d'un garçon.Et pour ma part j'ai adoré l'entendre brailler qu'on lui avait casser le nez.

Michael s'écarta de Macy pour s'asseoir sur un banc près d'elle,il n'avait rien fait de violent ou quoi que ce soit il s'était simplement écarter.Il n'était tout simplement pas du genre a en venir au coup.

Ça te dirait qu'on passe le reste du court ici ou tu préfères retourné voir le prof qui semble tant te porté dans son coeur

Celui là, il est vraiment coriace. Je lui fais comprendre que je ne veux pas de lui ni de personne, et il me répond en prenant ma réplique sarcastique au premier degré. Mais c'était bien joué. J'allais devoir m'en débarrasser autrement, puisqu'il était tenace. Mon caractère ne le rebutait pas, ça avait même l'air de lui plaire. Ridicule. C'était sensé donner l'envie au gens de me fuir, de me détester. D'avoir peur de mes moqueries. Mais pas de me rendre encore plus attirante. Généralement, les gens restaient ensemble car ils se trouvaient sympathique. Car qui voudrait rester aux cotés de quelqu'un qui ne fait que rabaisser, regarder avec un air hautain et méprisant? Même quand j'arrive à me rendre un peu sociable, je suis hypocrite.

- Ah, ah, je suis morte de rire. dis-je hypocritement suite à sa petite phrase ironique. Et je ne veux ni aller voir ce prof ni rester ici. Du moins, pas avec toi et tes compliments que tu peux déballer à chaque fille que tu croises. Peut-être que ça les fait craquer, mais moi, je trouve ça tellement mielleux que ça me répugne.

T'aime pas les compliments excuse moi je ne t'en ferai plus c'est juré et puisque tu sembles tant vouloir que je m'en aille je vais te laisser seul.Je suis pas ici pour m'amuser a avoir des prises de bec avec les gens de cette endroit après tout j'ai pas le droit d'aller en ville pourquoi je me ferais des ennemi sur un territoire sur lequel je suis condamné a resté.Mon dossier doit être plus épais que la moyenne des gens ici ou du moins c'est ce que je peux en conclure d'après le peu de gens que j'ai rencontré a ce jour.

Michael analysait tout c'était bien connu y comprit les gens ça aussi c'était connu ou du moins dans son coin c'était connu.C'est pourquoi il détestait être ici c'était comme admettre qu'il avait non seulement fait une faute mais qu'en plus il ne valait pas mieux que les gens du coin ce qui le répugnait.Michael s'éloigna tout simplement de Macy sans rien dire son regard penseur ne laissait rien voir de ses intentions

Oups... Je n'avais pas voulu le blesser, pas lui. Mon but était que les gens se mettent en colère, mais pas de les attrister ou de leur faire de la peine. Quoique... Je m'attendris trop. Mais allez, un peu de compassion ne peut pas me tuer. De la quoi? Je ne connais pas ce mot. Mais si...

- Chose, attends! Heu... Michael!

Je me dirigeai rapidement vers lui avant que je ne sois plus d'accord avec moi-même et je l'enlaçai par derrière, en lui faisant un calin. Puis, je lui souris et je lui offris un rapide baiser sur la joue. Macy! ça ne va plus du tout! Pff...

- Désolé...

Désolé?! C'est quoi ce nouveau mot? Ah oui, c'est vrai. C'est la première fois que je le dis.

HS: En souligné, c'est sa conscience qui lui parle

Je m'apprêtais à quitter la belle chipie nommé macy quand tout à coup elle me fit un calin.Et oui malgré sa tendance a vouloir provoqué les rougeurs des gens par la colère je l'aimais bien.Et ce même si elle ne s'était pas vraiment ouverte a moi.Je m'étais simplement dit que ça serait pour plus tard...Je dois avoué que son calin me plu grandement,j'en rougis quelques peu sans la moindre raison je sais mais c'étais tellement réconfortant...Comment dire non a ce genre d'étreinte.Mais la vraie raison de mes rougeurs était surement le baisé sur la joue.Chose que l'on ne m'avait jamais offert de ma vie avant elle.

-C'est rien Macy,dit c'est normal que je me sente prévilégié d'entendre ce mot sortir de ta et d'avoir un calin si réconfortant,en faite je crois que j'en ai jamais eu un aussi réconfortant si je veux être honnête et merci pour ce baisé sur la joue je m'en sens honoré

Michael prit l'une de ses mains qui l'enlaçait pour y déposer un baisé du genre qu'elle lui avait donné sur la joue,un baisé tout ce qu'il y a de plus normal,rien d'amoureux ou de sensuel simplement un merci dit en geste.

Mmm, je me changeais en fille réconfortante, gentille et sympatique. Hem. C’était une première. Les gens devaient en général attendre un bon bout de temps avant d’échapper à mon traitrement spécial « moqueries, regard hautain et méprisant ». Par contre, je le trouvais un petit peu trop gentleman à mon goût. Mais je ne devais pas envisager ce garçon comme une conquête… Juste parce que je n’avais jamais rien à faire pour en obtenir un, juste un ou deux sourires et ils tombaient comme des mouches. Donc, conquête n’était pas le mot. « Acqui » était plus juste, mais c’était égoïste, hautain. Mais n’étais-je pas comme ça ? En même temps, je n’avais pas envie de considérer ce garçon comme ça. Je le respectais plus, je le connaissais, il était différent. Du moins, il en avait l’air. Et puis, je n’en étais pas amoureuse. Mais l’avais-je déjà été ? Non, je ne crois pas. Je sortis de mes pensées brusquement.

- Oh, mais tu peux en avoir tant que tu veux… dis-je en souriant.

Et même plus. Mais ça, je ne le dis pas à voix haute. C’était assez mignon, de le voir avec ses couleurs roses sur les joues. Est-ce qu’un simple baiser sur la joue le gênait-il tant que ça ? Il avait l’air sensible.

-C'est vrais ? Es-ce moi ou j'ai de la chance d'avoir autant de calin que je veux de ta part.Ton mec si tu en a un en tout cas est surement très chanceux.Tu es jolie,tu as du caractère et tu es très réconfortante.Pourrions-nous échanger de position ? Je veux dire j'aime bien voir le visage le visage des gens avec qui je parles,tu pourra toujours me faire un calin de face non ?

Michael adorait sentir ses bras autour de lui.Mais il ne se sentait pas vraiment a sa place.Il aurait préféré être celui qui fait le calin ou encore se faire faire un calin mais de face.

Mon mec? Je n'en avais pas. Je n'aimais pas m'attacher aux gens, ça devenait lassant. Je n'aimais pas les petites habitudes où chaque jour était pareil au suivant. C'était pour ça que j'avais parlé de choses imprévisibles, de surprises. La vie ne serait rien, sans ça. Seulement, il peut autant avoir des mauvaises surprises que des bonnes. C'est pour ça que les gens préfèrent se cacher dans leur petites habitudes, comme ça ils sont surs de ne rien avoir, autant de bon que de mauvais. C'est presque par peur, en fait. Je me mis donc face à lui pour me caler à nouveau contre lui.

- J'ai pas de mec. D'ailleurs, quand j'en ai un, je le largue après quelque jours. Mourir d'ennui, c'est pas ce que je préfère, je l'ai déjà dit. Et c'est il y a peu, que je suis devenue réconfortante. En fait... Juste avec toi, je crois. Je n'aime pas m'accabler des gens avec leurs problèmes, j'en ai déjà assez pour me réoccuper des leurs,répondis-je.

-Cela me parait étonnant que tu sois aussi gentille avec moi et moi seulement alors qu'on se connais que depuis peu mais je te crois vue la manière dont tu m'a traité plus tôt.Dit moi si tu trouverais un mec dans le même genre que toi,tu crois que tu serais capable d'avoir une relation stable avec lui ? Désolé mais tu me rend hyper curieux.

Michael avait peut-être dérougie des joues mais il restait visiblement gêné.Michael n'était pas habitué aux démonstration d'affection puisqu'il avait été élevé par deux parents riche qui se foutait de lui et que par la suite il décida de fuguer ou il vécu seul.Sa seul relation fut une fille qui sortit avec lui que pour son argent alors imaginé la réaction lorsqu'il lui annonça qu'il n'avait pas l'argent de ses parents...

-En tout cas chose sure j'adore tes calins alors le mec a qui tu voudra plaire fait lui un et il tombe accroc directe !

dit-il avec humour sans le moindre sérieux

Avoir. Une. relation. Stable. Avec. Quelqu'un. Comme. Moi. Hem... Je faillis m'étrangler, rien qu'à l'idée. Déjà, supporter quelqu'un était difficile. Mais quelqu'un comme moi... Déjà, pourquoi mon clone viendrait-il me rencontrer? Parce que les gens comme moi n'aiment pas s'accrocher aux autres gens, ils sont chiants et... Et en plus de tout cela, espérer une relation stable? Deux gens chiants se rencontrent, s'amusent à essayer de rabaisser l'autre un maximum, et finissent soit par partir soit par s'entretuer. Je réfléchis encore quelques instants à ma théorie, mais ce n'étais vraiment pas compliqué.

- Supporter quelqu'un comme moi? Impossible, dis-je en éclatant de rire.

J'adore ta manière de pensé tu es super mignonne et tu les sais mais tu empêche tout le monde de t'approcher pour qu'ils puissent voir autre chose que tes courbes.Je dois admettre adorer ça et je t'assure que tout à l'heure je te supportais et maintenant encore plus.Dit moi ça te dirait qu'on aille faire un truc en ville ? Tu dois bien aimé ça le shopping non ? enfin je suppose mais si tu as une autre idée...

Michael commençait a avoir envie de bouger tout simplement car il était fatigué de ne rien faire bien sure parlé avec une belle chipie était toujours plaisant mais pourquoi pas lui faire plaisir ?

Ce sujet me rendait mélancolique. Ma mère… J’étais passée de la petite fille adorable à la véritable peste, juste pour me fabriquer un abri, pour qu’on ne voie pas ma souffrance et ma sollitude. Depuis, je ne m’en étais jamais débarrassée.

- En fait, je fais ça pour me créer comme une carapace. Peut-être parce que je n’ai pas envie que l’on me connaisse… Enfin, mon histoire. Et c’est surement à cause de ce qui s’est passé que je suis devenue comme ça. Je n’ai pas envie que les gens aient pitié de moi, je préfère que l’on me déteste à ça. Soit, je n’ai pas vraiment envie d’en parler. déclarais-je, le regard perdu dans le vide.

Je chassai ces pensées sombres de ma tête en pensant à sa proposition. Shopping… C’était une bonne idée, sauf que j’allais lui user ton l’argent qu’il avait. Car je ne me contentais pas d’un jeans, deux t-shirts et une paire de chaussures. Il me fallait toujours plus. Mais je ne tenais pas à le ruiner, et pour une fois, je pensais à quelqu’un d’autre que moi. Je faisais preuve d’empathie, et c’était bien.

- Que penses-tu de quelques bières au dépanneur? Demandais-je avec un sourire en coin.

Une carapace ? Mais tu sais je discutes avec toi depuis un certains moment et le simple fait d'avoir droit a tes calins plutôt qu'a toi qui m'accote dans le mur je trouve ça bien assez je n'ai pas besoin de savoir ton histoire pour savoir que tu as traversé quelque chose de difficile.Peut-être qu'un jour tu m'en parlera si tu le souhaite mais jamais j'insisterai a ce sujet.

Des bières hum pourquoi pas...Si c'est pour élargir ce sourire si beau que tu sembles si doué pour caché.

Michael sourit d'un sourire un peu gamin a sa nouvelle amie du moins il espérait en faire une amie dans un future proche

Il n’était pas pénible, il avait l’air de comprendre à propos de quelque chose qu’il ne connaissait pas. Et ne pas insister sur ce sujet douloureux, même s’il était de nature curieuse, c’était vraiment le mieux qu’il puisse faire.

- Tu as eu droit à un traitement de faveur, tu sais. D’habitude, je ne laisse si vite pas en paix mes victimes, dis-je en rigolant. Et oui, je parle bien d’une carapace. J’ai l’air hautaine, méprisante et moqueuse. Pourtant, si je montrais ce que je ressens, on y lirait juste la souffrance et la peine.

Mon sourire réapparut. Quelques bières au lieu d’aller en cours. Super. Et, oups ! je n’étais toujours pas revenue près du prof. Il n’allait pas tarder à revenir, si on ne se dépêchait pas.

- Vaut mieux pas trainer, si on tient à nos bières… Le prof va bientôt venir voir ce qu’on fait, je pense.

HJ : Tu postes la suite rue Brontë, au dépanneur ?

(biensure)