Juliet Ferris

PEOPLE LIFE♥ RELATION SHIP: T'en penses quoi?

; Fiche de Présentation

; Le Nécessaire

Prénom:
Juliet.
Nom: Ferris.
Date de naissance
&& Âge: 9 octobre 1992, 17 ans (au moment de la rentrée).
Année

Scolaire (Freshman Year, Sophomore Year, Junior Year ou Senior Year)
: Senior Year.
Lieu de naissance: Rock Island,
Illinois.
Groupe (Drug Problem, Obsession Of Stole, A
Temptation Violence, Artist Vandalism): Artist Vandalism.

; La Longue Histoire

Histoire
(Min. 10 lignes):

Il n'y a qu'une seule chose que je puisse
répondre à quelqu'un qui me demanderai de qualifier mon histoire, ma
vie, mon enfance de merde. E-M-M-E-R-D-E-S. C'est simple pas vrai?
Puisqu'il faut bien entrer dans les détails, voici: Je suis née aux
États-Unis, dans un état des plus barbants. Jusqu'à mes huit ans,
j'étais tout ce qu'il y avait de plus normal. Et ma famille l'était
aussi: bref, un stéréotype occidental par excellence, représentant
habilement le rêve américain. Le père, militaire accompli, soldat de
haute estime, ayant participé à des missions étrangères aussi
périlleuses qu'incroyables. Une mère, femme au foyer, dévouée à son
époux et à ses enfants. Un frère de 9 ans mon aîné, élève doué, ami
fiable. Et moi, à l'image de la petite fille modèle, qui excellait dans
tout et qui avait une curiosité sans borne, et une gentillesse
attendrissante.

Je vous vois déjà vous demandé ce qui a bien pu m'arriver pour que
l'enfant prodigue, la fillette pétillante et généreuse, se transforme en
adolescente rebelle, fermée au monde, solitaire. En fait, c'est simple.
Lorsque que j'eus compter huit printemps, ma mère, qui jusque-là
semblait éperdument heureuse dans toutes les sphères de sa vie, décida
de faire ses valises, d'une journée à l'autre et de nous quittés,
froidement, sans larme, pour aller s'établir, je-ne-sais-ou, avec un
homme que je n'avais jamais vu. Malgré mon jeune âge, je compris la
situation, et devint infiniment triste. Bref, une vraie plaie. Mon père,
furieux et désemparé, sombra dans l'alcool, pour ne devenir qu'une
masse de chair qui gravitait du divan jusque dans son lit. Le caporal
émérite n'était plus. Dans ses rares moments de conscience et de
sobriété, il laissait éclater sa fureur, sur bien sûr, la seule chose
que sa femme lui avait laissé de ressemblant, moi. Mon frère, dans un
élan de lâcheté, alla s'enrôler et parti loin de la maison, fermant les
yeux, comme un pauvre con. Quelques années passèrent, et mon
comportement changea. Les personnes les plus importantes de ma vie
m'avait abandonner: mon frère en allant dans l'armé, ma mère en partant
de la maison, et mon père en s'enfermant dans sa chambre avec de la
vodka. La famille modèle avait été relégué aux oubliettes.

J'entamai l'adolescence avec la ferme intention de partir de chez
moi dès le moment ou je recevrai mon diplôme. je rencontrai un garçon,
mon nouveau voisin, qui rendit ma vie un peu plus facile. Il était mon
meilleur ami, un confident, et de surcroît, mon premier amour. Bref, on
pouvait dire que je remontai la pente. Cependant, il faut croire que le
destin croyait que je n'avais pas eu mon lot de souffrance. Mon meilleur
ami, de plus en plus torturé par le poids de la vie, se suicida. Un
jour, tout bonnement, sans rien, dire, j'entrai dans sa chambre, comme
d'habitude. La seule putain de différence, c'est qu'au lieu de
m'attendre, assis dans son lit, il était pendu au dessus de celui-ci.

Je pensai alors que j'avais touché le fond. Rien ne pouvait être pire
que de perdre, à nouveau la seule personne en qui j'avais confiance.
Mais non, détrompez-vous, il s'avère que lorsque la vie s'acharne sur
vous, elle n'y va pas de main morte. 7 jours après sa mort, je compris.
Assise dans le cabinet de la clinique d'avortement, torturée comme
jamais, avec ce genre de siphon entre mes jambes, je sût. La vie c'est
une merde. Toute les personnes que tu rencontres, ce sont des merdes.
Ils te rencontrent, ils t'aiment, puis ils partent. Ils te laissent seul
avec tes problèmes, tes interrogations, avec toi-même. Et je n'étais
pas mieux qu'eux. Moi aussi, j'abandonnai la seule chose auquel j'aurais
pu m'accrocher pour vivre. Mais quelque chose en moi s'était brisé,
irrémédiablement. En sortant ce cette foutue clinique, je savais que je
n'étais plus la même.

Désormais, j'étais Juliet Ferris, âme solitaire, fermée à toutes
émotions.

Puis le reste, vous pouvez le lire dans mon dossier: rébellion,
vandalisme, alcool, Fichard.

Psychologique (Min. 5 lignes): Solitaire, provocatrice,
acide.
Trois mots, qui en soit, peuvent me représenter assez bien. Je déteste
la compagnie, bref, les gens en général. Je ne leur parle pas, sauf si
eux, ils me parlent. Je suis l'anti-social par excellence. Au moins,
quand je suis seule, y'a personne pour m'emmerder. Ce qui est
entièrement le contraire lorsque je me promène dans les couloirs de
l'école qu'est Fichard. Je me mets très rarement en colère -je suis
d'ordinaire assez calme-, et je ne pleure jamais. En fait, vous ne me
verrez jamais faire étalage de mes sentiments. J'ai un caractère très
fort et je fais toujours valoir mon opinion. Je n'ai pas peur de dire
aux gens ce que je pense d'eux, et la plupart du temps, cela ressemble
beaucoup à des indices.
Physique (Min. 5 lignes): On peut dire que
je suis de
taille
moyenne, ni trop grande, ni trop petite. J'ai les cheveux bruns foncés
presque noirs. Non mais putain, c'est d'un ennui. Pourquoi je dois
faire ça, moi? J'attire les hommes, je le déduis par le regard qu'ils
posent sur moi. Je dois dire que j'ai un visage et un corps séduisant.
Mon caractère dure me rends mystère, ce qui, dans bien des cas, s'avère
attirant. Qu'est-ce que je peux bien dire d'autre. Vous me verrez
rarement avec un sourire au visage, mis à part lorsque je me fous de la
gueule de quelqu'un. Dans ce cas, il sera pas vraiment sincère. Bon,
alors, sinon, j'ai une démarche, élégante mais décidé. Bon, j'me barre.

; La Vrai Vie

Vrai
Prénom (facultatif): Stéphanie.
Comment as-tu
connue le forum? 'Suis là depuis un bon bout de temps.
Personnage

Sur L'Avatar: Anne Hathaway.
Code: Because we are
immortal.

Désolée, je l'ai copier collé, et ça marche jamais mon affaire!