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 Défi #9 - Kathleen Brown VERSION NON DÉFINITIVE!

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Kathleen Brown

Kathleen Brown





PEOPLE LIFE♥
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Défi #9 - Kathleen Brown VERSION NON DÉFINITIVE! _
MessageSujet: Défi #9 - Kathleen Brown VERSION NON DÉFINITIVE!   Défi #9 - Kathleen Brown VERSION NON DÉFINITIVE! Icon_minitimeJeu 12 Aoû - 22:30

Annalynne McCord as

Défi #9 - Kathleen Brown VERSION NON DÉFINITIVE! Annalynne074

Charlie Brown


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Prénom:
Charlotte Cristelle
Nom:
Brown
Date de naissance && Âge:
4 mars 1997, soit j’ai 17 ans
Année scolaire:
Junior year
Lieux de naissance:
Phoenix, Arizona
Groupe :
A temptation violence
Histoire :
Je m’appelle Charlotte Brown. Charlie, pour les intimes. Oui, comme le comic book. Sauf que moi, je suis une fille. Et si tu fais un commentaire là-dessus, je te frappe. Clair? Mon deuxième nom, c’est Cristelle, en l’honneur de quelqu’un que maman à bien connu. Mais, quand je lui en parle, elle change de sujet. Elle dit qu’elle l’a déçue, elle aussi. Mais ce n’est pas le sujet. Le voici, le sujet. Je pourrais vous dire que j’ai des regrets pour ce que j’ai fait. Mais je n’en ai pas, et il n’est pas dans mon habitude de mentir. Alors je ne le dirai pas. Mais avant de vous dire ce pourquoi j’ai peut-être, ou peut-être pas, des regrets, il faudrait que je vous raconte l’histoire de ma vie.
Tout d’abord, ma mère était très jeune quand elle est tombée enceinte de moi. J’ai détruit sa vie, mais ça, elle ne me le dira jamais. Mon beau-père n’aimait pas ma mère. Je le sais, parce que, même si je n’avais que cinq ans à l’époque, je savais que battre sa femme voulait dire qu’on ne l’aimait pas. Et que battre leur fille en la traitant de bâtarde n’était pas une preuve d’amour non plus. C’est pourquoi, quand j’avais six ans, ma mère et moi sommes parties. Je me rappelle que maman pleurait toutes les nuits. On s’est promenés de villes en villes durant presque deux ans avant que maman ait envie de se poser. À Phoenix, le soleil et le désert. Maman avait dans la vingtaine. Évidemment, elle s’est remariée. On a emménagé dans une grande villa, décorée avec goût. J’avais huit ans, et il paraît que j’étais à croquer dans ma robe de demoiselle d’honneur. Malheureusement, maman a brulées toutes les photos quand elle a surpris son ex-mari avec sa secrétaire, un mois plus tard. À cet âge, je ne comprenais pas les cœurs brisés. C’était l’expression que ma mère utilisait le plus souvent. Et je ne la comprenais pas. Un cœur, c’est à l’intérieur, non? Comment peut-on le briser? Ma mère était étrange, un brin folle, et elle me serrait souvent contre son cœur en me disant que j’étais la seule qui la gardait en vie. Et ça me faisait peur, parfois. Après que les papiers du divorce eurent été signés, nous nous sommes installés dans un petit appartement miteux dans l’un des quartiers les plus pauvres de la ville. C’est là que tout commence à vraiment mal aller pour moi. J’ai trouvé mes égaux. J’ai peut-être oublié de préciser que j’étais un enfant violent. Qui préférait frapper plutôt que parler de ses sentiments. Sadique. Cruelle. Complètement déjantée. C’est ainsi que les psychologues me définissaient. Mais je ne le voyais pas de cet œil. J’étais simplement spéciale! Bon, où en étais-je? Oui. Les enfants des quartiers durs où nous vivions étaient aussi forts que moi. Et plus dangereux encore. Mais je n’avais peur de rien! J’avais neuf ans, et de cet âge, la vie nous paraît faite pour durer jusqu’à 80 ans, pour trouver l’amour et pour avoir un boulot stable. Mais en vérité, j’étais la seule blanche d’une école de noirs. En plus, mes cheveux étaient blonds. Ils le sont toujours, soit dit en passant. J’étais peut-être une dure avant, mais maintenant, j’étais simplement une reject. La nouvelle blanche. C’est tout. Je passai tout le reste de ma vie là, me taisant plutôt que donnant mon opinion. Pour éviter les poings des autres. Je fréquentais quotidiennement un psychologue. Celui-ci essayait de me calmer, mais ça me donnait seulement envie de le frapper. Bien sur, je le fis, et il me poursuivit en justice. Comme si une cour pouvait m’emprisonner! Heureusement, les avocats de mon grand-père vinrent à notre secours. J’ai peut-être oublié de vous préciser que les parents de ma mère sont riches. Pleins aux as, les vieux! Mais ils ne nous donnent de l’argent que quand nous sommes vraiment dans la merde. Parce que la fille et la petite-fille des gérants des entreprises Brown Mobilier ne peuvent pas mal paraître. Nous sommes de la publicité, pour eux. Mais bon, ils nous donnent de l’argent, alors! J’en étais où, là? Ah, oui! À cause d’un fichu psychologue, j’ai eu un dossier. Je n’en suis pas très fière. Maudit psy! En revenant du procès, ma mère m’a raconté ce qu’elle avait fait. Elle a incendié la maison de ses parents à 13 ans. Fugué à 14. Fut rattrapée. Fugua encore, avec son copain du moment, Louis, à 15 ans. Elle se droguait. Un jour, ses parents en ont eu assez, et ils l’ont expédiée dans une école pour délinquant. Elle mit sa main sur mon bras, planta ses yeux verts dans les miens, bleus-verts.
-Charlie, tu t’en mordras les doigts si tu te ramasse là. Fais bien attention.
-Mais… Tu ne m’enverras pas là, non?
-Non, je ne ferai pas ça, mais la cour peux le faire. Change ton comportement… Je ne veux pas te perdre!
-…
-Tu sais que je t’aime, Charlotte?
-Moi aussi, je t’aime, maman.
Elle me serra très fort dans ses bras. Je ne voulais pas partir, jamais. Parce que je ne savais ce que ferait ma mère, alors. Je ne le supporterai pas. Mais là n’es pas tout ce que j’ai fait. Il n’y a pas longtemps…
J’étais à une fête. J’avais peut-être un peu (un peu) bu. Un gars m’a abordée. Je l’ai vu glisser quelque chose dans mon verre, alors je ne l’ai pas bu. Il n’a pas semblé s’en rendre compte, parce qu’il m’a entrainée vers une chambre. Comme si une fille comme moi pouvait être intéressée par un gars comme lui! Non mais vraiment. J’étais soule, alors je me suis plus ou moins rendue compte de ce qui se passait au départ. Puis, quand il a commencé à essayer de me dévêtir, j’ai commencé à me débattre. Il m’a plaquée au mur, empêchant toute fuite, puis a plaqué ses lèvres contre les miennes. Savamment, froidement, alors que j’essayais de le frapper. Je lui écrasai les orteils de mon talon aiguille. Il poussa un hurlement de douleur et me frappa au visage. Je lui crachai dessus et commençai à le frapper. Je le frappai. Et je le frappai. Puis, je le frappai. Je le frappai jusqu’à ce que mes jointures me fassent mal. Jusqu’à ce que les larmes brouillent trop mes yeux pour que je sache où frapper. Jusqu’à ce que quelqu’un entre dans la chambre et pousse un hurlement strident. Là, je m’arrêtai, épuisée. Je crois que je me suis endormie. Je me suis réveillée quand les policiers m’ont passé les menottes et emmenée à leur auto. Me mettent en prison, malgré mes récriminations.
-J’ai 15 ans! Vous ne pouvez pas me mettre en prison! Vous avec pas le droit! C’est contre la loi! Mes grands-parents ont un avocat, quand ils vont entendre parler de ça!
Ça ne servit à rien. Je m’endormis sur le banc de la prison en compagnie des autres filles dans la cellule. Ma mère arriva quand je me réveillai. Je n’avais jamais remarqué à quel point elle me ressemblait. Les cheveux bouclés, les yeux. Elle disait que mes yeux étaient à mi-chemin de ceux de mon père et des siens. Mes cheveux avaient la couleur de ceux de mes deux parents. Les larmes avaient fait couler son mascara. Elle me criait par la tête :
-Tu m’avait promis, Charlotte Cristelle! Promis! Promis, promis, promis! T’as pas le droit de me faire ça! Maintenant, tu va partir!
Si je ne pleurais pas déjà, c’est là que j’ai commencé. Je ne voulais pas savoir comment il allait. Je voulais seulement sortir de tôle.
-Il… il a…
-Oui, je sais, Charlie. Je sais. L’avocat des vieux est en route.
-Alors, tout va s’arranger.
-Non, Charlie. Le gars est mort, tu le sais?
Je me mis à suffoquer. J’avais tué quelqu’un! Une vie humaine avait été enlevée à cause de moi. Même si c’était une vie exécrable. Qui ne méritais pas de continuer à vivre. Je passai trois jours en prison avant qu’on ne me transfère. Dans une autre cellule. Au bout de deux jours dans cette autre cellule, maman arriva. Nous avions perdu. J’allais à Fichard.
Voilà où je suis. Sur la route de Fichard. Toi qui lis ceci, tu n’as aucune idée de ce que je ressens en ce moment. Je suis quelqu’un de bien, avec un mauvais fond. Je voudrais bien m’améliorer, mais c’est ainsi que je suis. Pas autrement. Si je changeais, je ne serais plus moi. Maintenant, que va devenir ma mère? J’ai déjà reçu le premier chèque des vieux. Ils m’ont promis de m’envoyer de quoi subsister. Je crois qu’ils avaient fait la même chose avec ma mère. Mais maintenant, je me fiche bien de tout. Je suis décidée à partir le plus tôt possible de cette institution. Quitte à me maitriser pour un temps.
Physique :
Il fut un temps où mon physique était tout ce qui comptait pour moi mais maintenant, ça n’a plus aucune importance maintenant. Il est vrai qu’avec mes cheveux blonds totalement indomptés et bouclés ainsi qu’avec mes yeux bleus comme le ciel, je ne passe pas très souvent, et que le regard des garçons s’attarde souvent sur mes longues jambes parfaites, mais comme tout le monde, j’ai des défauts. Et parce que j’ai des défauts je me suis lassée de mon corps. Je n’aime pas les défauts. Je déteste ma poitrine trop plate pour être considérée comme vraiment belle. Je déteste mes mains trop grandes et malhabiles. Mon nez un peu trop plat me fait suer. Et un peu trop souvent, mes cheveux sont naturellement affreux et demandent plusieurs heures de coiffage avant d’être décents. Et plus que tout je déteste mon sourire qui ressemble à celui d’un requin qui attaque sa proie.
Psychologique :
J’aurais tout donné pour être belle à l’intérieur autant que je le suis à l’extérieur. Ce n’est pas que je sois quelqu’un de profondément méchant, mais c’est que j’ai un mauvais fond. C’est tout. Peut-être aussi que je suis un peu prétentieuse… Et colérique. Et instable psychologiquement. Et peut-être un peu violente. Et je n’ai pas vraiment de manière malgré les nombreuses fois où ma mère a essayé de faire de moi une bonne fille bien élevée. Et surtout, le pire de mes défauts est que je ne suis pas capable de m’ouvrir aux autres et donc d’aimer. Je crois que j’ai peur de l’amour à cause de ce que mon père a fait à ma mère. J’ai peur qu’un homme me fasse la même chose, et à cause de ça je me renferme sur moi-même dès que quelqu’un semble vouloir être quelque chose pour moi. J’ai même peur de l’amitié, c’est croyable? Malgré tout, je suis une inconditionnelle romantique attendant son prince. Même s’il n’arrivera sans doute jamais. Mais je suis patiente. Je saurai attendre. Et malgré tout ce qu’on a pu vous dire sur moi, je suis quelqu’un de bien. Je saurai aimer quand le temps sera venu et j’aimerai infiniment. Comme ma mère.

AVERTISSEMENT! CECI N'EST PAS UNE VERSION DÉFINITIVE, ELLE PEUT CHANGER À TOUT MOMENT! J'ÉDITERAI LE TITRE QUAND JE SERAI SURE DE NE PLUS VOULOIR LE CHANGER.
Comme vous l'aurez sans doute compris, il s'agit de l'histoire de la fille de Kathleen. Je l'ai fait il y a longtemps, bien que je l'aie changé, durant la seconde génération où elle était sensée figurer. J'aimerais que même si les admins donnent leur accord pour que ces textes soient perso prédéfinis, que le mien n'en soit pas un. Les raisons sont évidentes, et aussi parce que je travaille sur un texte à partir de cette histoire et que c'est déjà gros que je le mette pour ce défi. N'ayez pas peur de donner vos commentaires!
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Défi #9 - Kathleen Brown VERSION NON DÉFINITIVE!

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