-On va resto. Lui dis-je

-D'accord, alors allons y ! dis-je enthousiaste.

Nous marchâmes main dans la main losrue que Alexandre reprit la parole.

J'étais toujours éblouis par son apparence. Et je lui fis par de mon avis.

-Tu es ravissante. Lui dis-je

-Merci, dis-je toute rouge. Tu n'est pas mal non plus ! Dis-je en l'examinant de la tête au pied.

-Merci. Lui dis-je

Je lui ouvris la porte qui menait dehors pour la laisser passer.

-Les femmes d'abord. Lui dis-je en lui faisant un sourire.

Je passais ensuite l'autre côté de la porte.

-Alors, as-tu décidé qu'est-ce qu'on va manger. Lui demandais-je

-J'aurais envie de manger des pâtes ou autres choses peu importe. Dis-je simplement.

J'avais plus envie de manger des pâtes que autres choses. Je n'aimais pas beaucoup la viande, je n'en mangeais quasiment jamais. Mais j'allais me forcer.

J'aimais beaucoup manger des pâtes, alors cette idée me plaisait.

-Je suis d'accord pour les pâtes, il ne reste plus qu'à trouver un restaurant maintenant. Lui fis-je remarquer.

-Si on marche on va en trouver un, enfin j'espère. Constatais-je.

Nous marchâmes pendat une bonne dizaine de minutes je crois, nous parlions de tout et de rien.On regardait quelques restaurants mais aucun ne nous plaisait. Je regardais les aletours jusqu'à ce qu'Alexandre reprennent la parole.

Je regardais au coin de la rue et vis un restaurant italien avec une terrasse. Je décidais de commencer à marcher en direction du petit resto.

-Il y a un restaurant au coin de la rue là bas, on pourait y aller? Lui proposais-je

Il marchait par là avant que je réponde alors je suppose qu'on va là, Mais tant que c'était autre chose que de la viande, ça me convenait.

-D'accord, on y va, dis-je en suivant ses pas pour le suivre, jusqu'à ce que je trébuche et alors...

Elle commença à marcher, quand elle perdit pied et faillit tomber par terre, mais je la rattrapa avant qu'on puisse appeler sa chute une vraie chute.

-Est-ce que ça va? lui demandais-je en frottant son chandail.

J'ai crue que j'allais tomber mais il me rattrapa avant, par chance. Il m'avait demander si j'allais bien mais j'étais incapable de répondre, car mes yeux avait croisé les siens. Je ne pouvais plus articler un seul mot. J'était complètement hypnotisée par la beauté de ses yeux, ses yeux bleu-vert brillants comme tout. Après quelques secondes je repris mes esprits et répondis à sa question.

-Oui, sa va, enfin je crois. Dis-je en sachant qu'il se demandais se que j'avais.

Je voulais continuer ma blague, mais je croisa ses yeux et perdis la parole. Je voulais lui dire: Non pas toi, le chandail! Avec un sourir en coin. Mais j'étais hypnotisé par la couleur magnifique de ses yeux.

-Fait attention la prochaine fois. Réussis-je à articuler.

-Oui, je vais essayer. réussis-je à articuler.

Je me remis alors de ma chute. Je remis aussi mes idées en place. Je me souvenue qu'on deavit aller au resto d'en face.

-Alors, on y va? Dis-je en me dirigeant vers le petit resto.

Je retourna à la réalité quand Sarah m'adressa la parole.

-Bien sûr. Lui répondis-je

Je repris alors sa main et nous commençames à marcher vers le restaurant italien.

Je lui ouvris la porte et elle m'adressa un sourir. Je regarda autour de nous dans le restaurant et toutes les tables étaient vides.

-Étrange, il n'y a personne. Remarquais-je

-Alors, nous sommes seuls, constatais-je en rejettant un autre regard autour de nous.

Peut-être que le resto n'était pas bon, va savoir. Le serveur nous apporta
le menu et je le feuilletait lorsque j'entendit Alexandre parler.

-Je sais pourquoi il n'y a personne. Lui dis-je

J'attendis qu'elle réponde pour pouvoir continuer d'inventer une raison de l'absence de personne dans le restaurant qui allait peut-être être plus ou moins réaliste.

Il savait pourquoi il n'y avait personne et il n'était jamais venu ici. Étrange !?

-Alors, pourquoi il n'y a personne ? Demandais-je en le scrutant.

J'était sûre qu'il allaitinventer une histoire de toute pièce mais bon.

Je savais déjà ce que j'allais dire avant même que Sarah réponde, alors je continuais de raconter mon histoire improvisée avec un ton mystérieux dans ma voix.

-Le chef de ce restaurant, empoisonne tout ses clients. Il met les cadavres dans un immense congélateur pour conserver leur viande. Dans chaque plat commandés, le chef rajoute du poison et quelques organes humains. Lui dis-je en attendant sa réaction

C'était sûre qu'il rigolait, mais j'allais jouer le jeu.

-Tu rigoles !? Alors moi, je ne veux plus manger. Dis-je d'un air dégouté.

J'était sur le point d'éclater de rire. Et vu son expression, je penses qu'il y croyait.

Je voyais dans ses yeux qu'elle n'y croiyait paas du tout et sur sa bouche qu'elle trouvait ça drôle. Mais je fis semblant de la croire.

-En fait... l'histoire est fausse et tu es une très mauvaise menteuse. Je vois la vérité dans tes yeux c'est beaucoup plus facile. Lui avouais-je en lui faisant un sourir.