Message par bout de papier

-Ah, je n'est jamais été bonne dans ces trucs là, boudais-je sarcastiquement.

Je n'est jamais été bonne menteuse, apport quand je me forçais. Et je ne
m'était pas vraiment forcer là. Mes yeux me trahissant.

-Même si tes yeux te trahissent, moi je les trouve très beaux et surtout uniques. Lui dis-je en les regardant.

Après m'être plongé dans ses yeux magnifiques, je ne pouvais plus en sortir. J'étais prisonnié et je pouvais le rester pour toujours, c'était tellement agréable. J'étais hypnotisé, quand le serveur interrompa ce moment.

Merci, c'est gentil, dis-je en rougissant.

Alexandre me regardais dans les yeux quand le serveur arriva.

-Avez-vous fait votre choix? Dis le serveur en nous regardant.

-Moi je n'ai pas encore choisi, dis-je en regardant Alexandre.

Je regardais le menu même si je savais déjà ce que j'allais prendre.

-J'aimerais avoir une grande assiette de spaghetti s'il vous plaît. Lui demandais-je

En disant ces mots, la faim monta en moi, j'avais vraiment faim. Je jettais un coup d'oeil à Sarah pour voir si elle avais décidé.

Du spaghetti? Très original. Alors, je regarda vite le menu et pris la première chose
que j'apperçu, Des fettucini carbonara, c'est quand même bon.

-Eh, des fettucini carbonara, s'il vous plaît, dis-je assez directement.

Quand elle finit de dire sa commande, l'eau me monta à la bouche. J'avais vraiment faim. Je regardais le serveur partir vers la cuisine et je posa une question qui me venais à la tête à Sarah.

-Est-ce que tu as faim? Lui demandais-je

Si j'avais faim, pourquoi il me demandais ça. On est dans un restaurant, il me
semble que ce ne soit pas logique comme question.

-En fait, un peu, dis-je en repansant au peu de chose que j'avais mangé aujourd'hui.

-Seulement un peu! Moi je meurs de faim. Lui avouais-je en essayant d'empêcher mon ventre de faire trop de bruit.

Je regardais la porte de la cuisine pour voir si quelqu'un allais en sortir, mais personne ne sortit. Je décidais de tourner mon regard vers Sarah pour me plonger une fois de plus dans ses magnifiques yeux.

Même s'il essayait de cacher le bruit de son ventre, je l'entandais de toute façon.
Ce n'était pas vraiment subtile et ça se voyait qu'il avait faim.

Trop tard, si elle a dit quelque chose, je ne l'ai pas entendu. J'étais déjà plonger dans ses yeux. Au moins, je ne pensais plus à manger. J'oubliai tout.

Je tournais les yeux ailleur, car si je ne le faisait pas, il allait m'arriver la même chose. Je détournais la tête vers la porte d'où le serveur était supposer sortir. Je devins impatiente que le serveur sorte, parce que le silence me mettait malalaise. Je le sentis toucher et prendre ma main doucement. Et quelque chose me pris le menton et fit tourner ma tête vers Alexandre, c'était sa main.

Sarah tourna la tête allieur et je compris que le silence la mettait malalaise. Un autre point commun entre moi et elle. Je sortis de ses yeux pour prendre sa main dans la mienne et utiliser mon autre main de libre pour tourner sa tête vers moi et regarder une fois de plus dans ses yeux. Je lui demanda cepandant quelque chose.

-Pourquoi tournes-tu toujours la tête vers cette porte? Et pas vers moi... Rajoutais-je en sachant que ça l'agacerait de me dire la vérité.

Pourquoi faut-il qu'il me pose des questions avec des réponses embarassntes, C'est trop injuste. A lors comme d'habitude je n'allais pas répondre pour ne pas me riduculiser. J'alais ignorer la vérité.

-Je regardais pas la porte,je.. je regardais le cadre làs-bas et je le trouve superbe tu trouve pas, bégayais-je.

Il ne pouvais pas y avoir plus idiote que moi. Un cadre qu'ellebonne idée de réponse. Bravo Sarah !

Trop facile à deviner, je l'avais embarrassé avec ma question. Mais je ne m'en voulais pas, parce que premièrement je trouvais ça drôle de la voir bégayer. Deuxièmement, quand elle devait répondre à des questions comme celle là, je la voyais rougir comme une tomate ce que je trouve très mignion, sans faire trop bébé. Je lui avouais cependant la vérité sur ce point là.

-J'espère que tu ne m'en veux pas trop, mais si je t'ai posé cette question, c'était pour te voir rougir. Lui avouais-je le sourir aux lèvres.