Je venais de terminé de mangé dnas la salle minable qui servait de cafétéria à Fichard. Et puis, je m'étais dirigée vers la salle d'étude. Comme elle était toujours vide (les nerds n'étant pas l'espèce la plus répandue dans notre bienheureuse école), les emerdeurs y seraient plus rares.

Je m'avançais jusqu'à la table la plus reculée de l'entrée, celle près de la fenêtre. Et je me rendit compte que je m'étais trompée. Parceque je vis une fille, son visage ne me disait rien, à part le dégoût irrévocable que j'éprouvais pour toutes les personnes qui fréquntaient cet établissement.

En effet, la vérité fait mal. Des emmerdeurs, il y en a partout.

Une fille à l'allure sombre s'avançait près de ma table, mais je ne lui répondit pas. Elle avait l'air comme moi: sombre, refermée, d'humeur massacrante. Au moins, j'étais pas la seule.

Je vis la fille s'avancer vers moi. Et ça recommence. On dirait que plus une personne à envie d'être seule, plus les autres insignifiante spersonnes qui gravitent autour d'elle sentent le besoin d'aller la voir.

La solitude est ma compagnie préférée. C'est la seule qui ne vont injurie pas, ne vous énerve pas et surtout ne demande pas d'attention à outre-mesure. Bref, la solution la plus facile, et la moins chiante.




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