Bonjour, J'ai ébaucher ca mais je n'ai pas respecté les "catégories, je suis prête à les mettre si vous les voulez^_^pas de soucis/ ceci n'est pas terminé



J'ai été officiellement libérée il y a quelques jours après avoir fini ma peine de travaux d'intérêt général. Ils m'ont laissé reprendre la "pièce à conviction" (mon journal) avant de me mettre dans le bus. Je l'ai relu pendant le trajet jusqu'à Fichard... que de nostalgie. Entre la couverture et la première page, j'ai glissé un document froissé, déchiré et par endroit brûlé :

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Rapport de police du comté de Grand Forks / Dakota du Nord. "

Mademoiselle Chanelle Gabri/.../ Park, connu/.../ forces de polices so/.../le pseudonyme : KillBurn, /.../appréhendée l /.../ 14 février /.../nnée deux mille neu/.../ à /.../ "hacker"/.../ détournement/.../ piratage informat/.../ Après une garde à vue/.../euf heure, l/.../mineur a été remise en/.../berté en attente d'une sanction /.../orrectionnel qui/....../ " ____________________________________________________________________________



JOURNAL D'UN HACKER UNE PRINCESSE

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Si vous pouvez lire ceci aujourd'hui, c'est que vous avez trouvé le journal. Je l'avais pourtant bien caché... alors soit j'ai vendu la mèche au court d'un interrogatoire, soit j'ai définitivement surestimé mon talent de cache-cache. Néanmoins il y a une chose que vous ne renierez pas, mon talent pour le piratage informatique. Hélas vous espérez peut être trouver les codes que j'ai craqué et qui me valent cette fameuse visite dans vos locaux, mais je suis au regret de vous apprendre que vous avez fait choux blanc!
Allons, ne baissez pas les bras, ce journal regorges d'informations utiles. Vous arrêterez peut être votre lecture ici par pure déception, ou bien vous aurez la curiosité d'aller plus loin et de savoir comment j'en suis arrivée là. (?)

Je m'appelle Chanelle. Channelle Gabriel Park. Mais cela fais maintenant plusieurs années que j'ai renoncé à utiliser mon premier prénom, un peu trop prestigieux et charismatique moi une fillette comme moi.
"Once upon a time"... En fait mon histoire commence comme dans les comptes de fée digne de ce nom. Une fillette aimée et choyée dans un environnement propice à une croissance saine, loin de la pollution et de la corruption de la ville. Je vivais dans une démesure insolante, adorée par mes parents qui, pour me surprotéger, m'avaient littéralement coupé du monde dès mon plus jeune âge. Seule élève d'un professeur particulier au curriculum vitae plus long que le code des.../////, j'excellais surtout dans les matières scientifiques, bien qu'à 12 ans je connaissent déjà Hamlet et m'essayais avec tout de même des difficultés à Nietzsche, mais décortiquais avec une passion sans mesure les lettres sulfureuses de Valmont à ses conquêtes. Bien sur, il aurait été scandaleux que ma vie si privilégier ne soit que paix et bonheur, d'ailleurs si l'accident n'avait pas tout bouleversé, j'aurai certainement arrangé les choses moi même, au détail près que dans ma version des faits, mes adorables parents ne seraient pas monté dans leur berline ce soir là.

Une poubelle ... qui l'aurait cru ? C'est tout de même le comble de l'ironie, pour un couple de petit bourgeois protestant de province, où les ordures ménagères sont collectés et débarrassés quotidiennement par l'une de nos deux techniciennes de surface, d'être tué par une poubelle... Mais comme quoi le sort fait bien les chose, c'était la benne à ordures du Carton...

Bref je ne vais pas m'attarder plus longuement sur cette histoire qui se termine sans surprise, le chauffeur de mes parents (seul survivant de l'accident) à déclarer que la poubelle s'était jeté sur la voiture, bien qu'il n'aie pas employé ses mots là, le démêlé de l'histoire fut le même, il fut relaxé et je reçu en compensation à mon malheur, plusieurs milliers de dollars d'héritage mais dont je ne pourrais faire usage qu'a ma majorité...



JOURNAL D'UN HACKER UN ORPHELIN (timide et insociable)

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Pour passer le temps il a bien fallut que je trouve une activité lucrative et pas trop sociale si possible (vu mon éducation, le contraire aurait choqué) Au début j'ai pensé au hockey sur glace... j'avais l'habitude de regarder les match, assise illégalement sur les marches de l'escalier principal de la maison, alors que mon père était devant la télé entrain d'admirer les Ducks.
Je me disais toujours que tout cet attirail ne leur servait pas seulement de protection, mais aussi de masque, et je m'imaginais parfois, dans de doux moments d'égarement entre deux cours particulier, m'aventurer à l'extérieur de la maison incognito avec une de ses tenue de hockey. J'était persuadé que je m'y serais senti plus à mon aise qu'avec mes vêtements ordinaire.
Quoi qu'il en soit j'ai très vite abandonnée l'idée quand j'ai vu la corpulence des molosses de l'équipe de mon quartier (et oui parce que entre temps j'avais déménagé dans un foyer pour orphelins à Seattle, bref rien que des banalités et de la paperasse).

Finalement au bout de quelques mois, un nouvel arrivant fit son apparition dans notre grande et chaleureuse maisonnée et pour être honnête, j'ai tout de suite su qu'un gouffre nous séparait lui et moi. Pour vous passer les détails une fois de plus, Il était mon opposé, une symétrie contradictoire parfaite. Et bien entendu, si j'ai remarqué cela au premier coup d'oeil, il en a fait autant. Je vous vois venir, vous pensez "coup de foudre". Et bien avez tout à fait raison, et quand je parle de foudre, je fais allusion au côté électrique que ce mot peut évoquer, et non romantique. Du moins sauf si vous estimez que m'initier au vol de voiture et aux bases du piratage informatique était sa façon bien à lui de me faire une déclaration. Tout chez lui jurait, son regard, ses vêtements, son langage... Et pourtant, sous cette carapace extravagante se cachait un modeste génie qui ne tirait aucun profit de son savoir alors qu'il aurait pu l'utiliser à des fins... intéressantes.

Bref notre séparation quelques années plus tard fut un déchirement... Il atteint la majorité et nos rêve de cyber conquête du monde tombèrent à l'eau quand la police frappa au foyer un matin d'hier. La neige était immaculée, l'atmosphère sec qui régnait m'apaisait tout en m'éblouissant aux premier rayons du matin. J'entrouvrais à peine les yeux en entendant les fracas des forces de l'ordre pénétrer dans la chambre voisine à la mienne. Quand j'ouvrai enfin ma porte, ils étaient déjà entrain de souiller une seconde fois la neige, en direction du fourgon, emportant avec eux ma seule raison d'exister, encore en pyjamas ridicule, mains derrières le dos, arborant un insolant petit sourire au coins des lèvres.

"On reste connecté" m'avait il craché avant de valdinguer dans la fourgonnette blindée.

Les pieds dans la neige, mon corps tout entiers était déconnecté, je gelais sans que mon cerveau ne puisse rien envisager pour y remédier. Je regardais la voiture s'éloigner jusqu'à devenir une tache noir qui défigurait mon joli paysage. Ce jour là, j'eut l'impression de perdre plus qu'un ami, plus qu'un frère, plus qu'un père. Mais je n'ai jamais su définir ce sentiment.



JOURNAL D'UN HACKER EN COLERE

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Après tant d'échecs affectifs, et me sentant totalement délaissée, j'envisageais de ne plus réitérer l'expérience et décidais de m'enfermer dans ma tour d'ivoire, jusqu'à ce qu'une idée plus vivable me vienne à l'esprit. En fin de compte, j'ai l'impression aujourd'hui de n'être jamais sortie de cette tour, ni même pour manger.
Apres plusieurs jours de jeûne, dû à la tristesse ou à la flemme, appelez ça comme vous voulez, je trouvais quotidiennement des plateaux repas devant la porte de ma chambre et m'en accommodais. Plus tard, je migrais dans sa chambre, désertée quelques semaines auparavent. Rien n'avait bougé, ce qui m'étonnais. A croire que tout le monde avait remarqué notre complicité sauf nous. Les autres m'avaient laissé le soin d'empaqueter ses affaires. Cadeau empoisonné à en juger par l'infâme bordel qui régnait dans cette pièce. Je m'attelais à ma tâche et en quelques jours, tout était impeccable du sol au plafond, j'avais descendu d'innombrables cartons dans la cave, dans l'espoir improbable qu'il puisse un jour les récupérer. Je n'en gardais qu'un, celui de ses notes. Des notes sur le code des hacker, sur comment craquer des codes, créer des systèmes et tout un tas d'autre trucs.

Vous devinez aisément la suite, je me suis concentré en bonne élève que j'ai toujours été! Je fini par être repérée dans ce cyber-monde et mon pseudonyme vint à moi naturellement, j'était réputé pour modifier, court-circuiter ou endommager des choses avant de détruire mon travail par mesure de sûreté.
Kill-Burn m'a-t-on surnommé. Au début je trouvait cela "too much" le stéréotype blindé de sens du pseudo hacker qui veut tout détruire sur son passage, puis petit à petit ce nom a prit tout son sens. Je ne l'avait pas choisi, il fallait que je m'en accommode.

"Oui mais", me direz vous, "si tu était si forte que ça, comment se fait-il que tu te sois faite arrêter ?"
Et bien je ne me suis pas posée la question bien longtemps... L'arrestation s'est déroulé de la même façon que celle de mon mentor quelques mois auparavant, à la différence près que contrairement à lui, moi j'étais au courant de leur arrivée. En fait depuis son arrestation, je n'avais pas lâchée la police d'une semelle. Infiltrations des dossiers confidentiels, ballades dans leur système information et écoute régulière de leur radio. Vous imaginé donc que je les ai vu arriver...
Mais la raison de ma colère est toute autre. Bien que je savais pourquoi ils me recherchaient, je butais néanmoins sur la simple question "comment m'avaient-ils trouvé" étant donné que la seule personne au monde à connaître l'identité de KillBurn n'est autre que ... LUI.

Et voilà, sitôt sortie de ma peine correctionnelle j'ai tenté de le localiser et ma dernière piste remonte à cette école.

Fichard me voila!

Note additionnelle :

Je n'ai pas peur des malentendus, au contraire je dirais que c'est ce qui fait ma force de caractère: être en mesure de surprendre malgré les apparences. Seulement je n'aimerai pas que vous interprétiez mal mon passé. Je suis peut être ce que vous appelé délinquante, mais certainement pas perturbée, ni avec je ne sais qu'elle maladie psychologique.

Je suis juste Killburn ... et je n'ai qu'un chose à vous dire ; "Fichardo-di-linquanto" !

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Genre: étudiante Dossier Criminel: Vandalisme ?

Amoureux, amoureuse: peut être juste passionnée.

Acteur sur l'avatar: Angelina Joli

Moi, je l'ai lue en entier. IL faudrait juste que tu nous mentionnes quel age tu as, mais sinon c'est très bien !

Acceptée pour ma part. Et je dois dire que j'ai aimé la présentation !

Domage qu'on ai aucun gars qui est a Fichard pour piratage, ça vous aurait fait toute une histoire...