Avec Styler #2

Ce matin commença mal. Très mal. Premièrement puisqu'au moment ou je vous parle, il était 8 heures 55 et les cours commençaient à 9 heures 10. Je venais de me réveiller, c'était Jared avec qui je partageais ma chambre... Il avait échapper un verre de jus - oh p'tain, vous n'avez pas toujours peur lorsque vous tenez un verre dans vos mains de la possibilité qu'il puisse se briser? - sur le sol. Le bruit m'avait réveiller. Et je m'étais rendu compte de mon retard, argh... Je me sortis donc du lit, passais un t-shirt et un jeans avant de passer à la cuisine. Évidemment, des gars étaient encore en train de manger et du au manque de toasters (et à mon incapacité à avaler un vieux reste de froot loops sûrement périmé) je dus attendre un bon moment avant de pouvoir manger. Bon sang, en plus ils prenaient toute la place et je ne pus même pas m'asseoir à la table (puisque je n'avais définitivement pas envie de partager leur conversation à tous ces nouveaux de cette année). J'avais un terrible mal de tête et je supposais que je m'étais bourré hier soir, pourtant les souvenirs étaient très confus dans ma mémoire... Pourtant, en y repensant bien je me souvenais d'avoir passé une soirée avec le pauvre Cedrick qui était déprimé (et qui avait donc engloutit une bonne dizaine de bieres sur quasi pas de temps)... Donc, je devais avoir bu aussi. D'ou le mal de tête, tout s'expliquait.

Je pris donc une assiette, mes toasts, un couteau et le pot de nutella, entraînait le tout dans le salon et commençait mon petit-déjeuner... J'entendais encore les nouveaux parler du salon. Je réprimais un soupir. Ils allaient sécher leurs cours aujourd'hui et allait jouer, de ce qu'ils disaient, au foot. Ouah... C'était pénible. On dirait dit qu'ils étaient fiers, de sécher leur cours. 'Ouais, c'est ça, je suis cool, moi. Je sèche mes cours et je vais jouer au foot!'. Trop impressionnant et je n'étais surtout pas sarcastique. Bref, je finis de manger et laissait la vaisselle sur la table du divan... Un de ses pauvres cons finiraient par tout ramasser comme ils le faisaient toujours. Jusqu'à date, ils s'étaient appliquer à m'ignorer - ou peut-être n'osaient-ils simplement pas m'adresser la parole - toute la bande... Mais ramassaient tout de même ce que je laissais traîner parce que cela les énervaient un logement bordélique. Tant mieux, puisque je pouvais très bien survivre au bordel, moi.

Il était déjà 9 heures 15 et je passais au pavillon B.

Je poussais la porte du cours d'histoire.

- ... Et c'est donc ainsi que la révolution française se ... Styler!!

Brooke était dans le cours, en avant. Elle ne semblait pas écouter. Il ne me parlait donc certainement pas.

- 15 minutes de retard.

Bon, il me parlait à moi...

- Je suis désolé, monsieur, c'est que... Que... J'avais du aller en bas au secrétariat, c'était ma tante au téléphone... Mon oncle vient de mourir... Ouais, c'est ça. D'un terrible cancer qui s'est généraliser et l'enterrement est samedi et je... Enfin, désolé!

Il leva sur moi des yeux dubitatifs. Il était septique. C'était évident. Mais peu importe, il ne trouva pas le moyen de me contredire - et n'avait pas de temps à perdre à faire une recherche sur moi.

- Mmmmh, murmura-t-il vaguement. Allez vous asseoir.

Il ne me quitta pas des yeux. Soit il matait mon cul (Il était peut-être gay pour porter une chemise comme celle-là hein...), soit il était vraiment suspicieux. N'étais-je donc, si peu crédible? J'affichais donc un sourire moqueur et pris place presque en avant de la classe (pas besoin de mentionner qu'il ne restait plus de place à nul autre endroit) juste derrière Brooke.

- Bonjouuuur, Brooke! lançais-je d'un ton angélique.

Le prof me fusilla du regard et continua ses explications détaillées sur je ne sais quel sujet puisque je n'écoutais pas. Je ne commençais pas à compter les tuiles du plafond, cela aurait été que trop pathétique mais pour être franc je n'avais pas grand chose d'autre à faire... À moins de texter un texto à quelqu'un mais j'étais en avant de la classe, le prof ne me lâchait pas des yeux et de plus, je n'avais rien à dire à personne. No life, Nick, no life... Ouais c'est ça. Je pourrais peut-être envoyer un message à Adie pour lui faire remarquer que le jus d'orange c'était meilleur avec pulpe, un à Jared pour lui demander de m'écrire un texte sur l'anatomie de Tinky Winky des télétubies, un à Dereck pour l'informer du fait que la mémoire d'un poisson rouge ne portait pas plus loin que 2 secondes, un à Anabou pour lui faire remarquer que si Cedrick portait du rose c'était peut-être puisqu'il était homosexuel, un à Jenna pour lui demander d'apprendre la septième symphonie de Beethoven à la clarinette mais... J'en avais pas envie. Quelque chose en moi me disait que toutes les réponses que j'obtiendrais de mes soit-disants amis seraient ' Ferme-toi, Nick... '. Encore une fois.

Je n'avais plus rien à faire. J'étais probablement le comble même de l'inattention et le prof en profita donc pour me questionner. Je ne savais pas ce qu'il m'avait demandé mais pour lui éviter de devoir répéter quoi que ce soit - je me souciais de son gaspillage de salive moi... - je choisis de ne pas répondre. Il sembla frustré mais ne dit rien. Je commençais donc à fixer un point sur le mur. Je ne pensais à rien, ne faisait que quelques bulles avec mon immense chewing gum à la fraise (que j'avais voler à un des gars avec qui je co-habitais dans la communauté masculine)... Ma gomme! Ohh! Enfin, quelque chose de divertissant. Je la sortis donc de ma bouche, elle était ruisselante de salive... Mmmh... Je la fis tourner entre mes doigts et me penchais un peu par en avant. Sans que Brooke ne put faire quoi que ce soit, je soulevais un peu ses cheveux blonds et collais le chewing sur sa nuque, dans sa chevelure... Ce qui lui arracha un petit cri de surprise - sûrement au contact de cette substance visqueuse, gluante... collante. Je me redressais sur ma chaise, mine de rien, mais matait tout de même le chewing gum dans ses cheveux. J'attendais une quelconque autre réaction de sa part.

PEOPLE LIFE♥ RELATION SHIP: ♥

HJ : Un moment de silence, s'il vous plaît, prions pour ne pas avoir un texte qui parle de couscous cette fois-ci. x)

Souvent, on se demande, après qu'un truc complètement chiant nous soit arrivé, mais qu'est-ce qui pourrait m'arriver de pire ? Et vous savez quoi, moi, j'y ai trouvé réponse à cette question. Je pense qu'à force de m'être posé cette même question des centaines de fois, quelqu'un là-haut, avait décidé de me punir. Surement parce que cette personne était frustré du fait que je me plaigne tout le temps. Un instant, j'en viens aux faits... Donc voilà, ne vous poser plus la question, la pire chose qui pourrait vous arriver, c'est d'être dans ma peau.

D'abord, je ne me suis pas lever. Oui, j'ai bien dit que je ne m'étais PAS levé. Je ne me suis simplement pas couché. Donc, à 8 heures, j'avais décidé de... Hmmm, sortir de mon lit. En pyjama, j'ai marché jusqu'à la cuisine. J'ai allumé la cafétière et me suis avancé vers le frigo qui semblait m'appeler. Vous savez ce que j'y est trouvé ? De la bouffe. Si, si, de la bouffe. Quelqu'un s'était enfin chargé de l'épicerie. J'avais pourtant la vague impression que je devrais appeler à la pizzeria, le soir venu. J'empoignais le contenant à crème glacé à la pistache et y plongeais une cuillère dedans. Bon, je sais, rien de terrible, mais attendez un peu.

Donc, avec mon bol de crème glacé, je me suis dirigée vers la salle de bain, où j'ai fait couler l'eau. Je suis embarquée dans la douche et, très normalement, me lavais les cheveux. Sauf que l'eau chaude se coupa soudainement, laissant place à une eau glaciale. Je poussais donc un cris strident, qui réveilla tout le monde. Encore le shampoing sur la tête, je sortis donc, furieuse.

Je du me rincer les cheveux dans le lavabo. Oui, le lavabo. Je sais, je me demande aussi comment une tête rentre dans un lavabo.

Ensuite, je me suis décidée à mettre mon linge au lavage, puisqu'il traînait en dessous de mon lit depuis mercredi. J'ouvris la machine à laver et y déposa la pile de linge. Je la refermais, fière de moi. Sauf que l'appareil se met à faire des bruits assez louches, donc, je me décide à l'ouvrir. Évidement, un jet d'eau est projeté sur moi, avant que l'eau et la mousse ne se mettent à déborder de la machine à laver, et à innonder le plancher de la salle de bain. Luttant contre ma laveuse, je tombe, je glisse, je tombe, et je glisse encore, m'aggripant en vain au comptoir. Finalement, j'arrive à stopper cette machine infernale.
Je branche mon sechoir à cheveux, oubliant, bien sûre, que la pièce remplie d'eau, et l'échappe dans le bain. Le sechoir se met lui aussi à faire des drôles de bruits, et commence même à faire quelques flamèches. Je décide alors de sortir de la salle de bain, laissant le sechoir.
Je cours à toutes jambes vers la enderie et y déniche une paire de jeans bien serrés, un t-shirt et des escarpins noirs. J'attrape mon sac et je sors de la chambre. Je descend les marches quatres à quatres. Sauf que... CLACCC ! Le talon de ma chaussure se casse ! Je maudis cette journée et retourne dans la chambre où je trouve une nouvelle paire d'escarpin.

J'arrive pourtant à mon cours, saine et sauve, mes livres en main, après avoir foncé dans plusieurs élèves. Je m'assis donc sur la chaise que me désigna le professeur d'histoire. Comme à mon habitude, je ne porte pas plus attention à ce qu'il raconte qu'au canal politique à la télévision. Je commence donc à gribouiller sur mon bureau, sans porté le moindre regard au professeur qui semblait légèrement énervé.

Quelque minutes plus tard, Nick arrive. Il sortit donc encore une de ses excuses bidons, qui me fit légèrement soupirer. Son oncle était mort trois fois, une fois en cours de bio, une autre en math, et maintenant en histoire. Je ne répondis pas à son bonjour, sachant que c'était de la pure perte de temps.

Vous savez, ce qui fut le pire dans cet avant-midi ? Ce fut le moment où je sentis la masse collante se coller à mes cheveux. Je poussa donc un cris de colère et me retourna.

-Espèce de sal con ! T'es qu'un imbécile. Criais-je

Je donnais un grand coup de pied qui atteint apparement son tibia, sous son bureau, lui jetant un regard noir.

Les autres avaient pourtant l'air à ne rien comprendre à ce qui arrivait.

HJ #2 : Je sais, je sais, ça ne bat pas ta réponse, mais bon, on fait ce qu'on peut. Et puis, ma mère me gueule après depuis tout à l'heure pour que j'écoute Heroes en english. -.-

"Je pressais la gomme contre sa peau, ses cheveux ne tardèrent pas à s'y installer", je suppose que ce serait une façon poétique de raconter la situation. J'en parlerais à William... William! Mon partenaire en tout ce qui était destruction du petit extra-terrestre qu'était Brooke. Je pouvais très bien me rappeler de toutes ses belles choses que nous lui avions fait endurer. Tous les trucs comme les insectes dans sa case, ou bien voler ses vêtements après la piscine ce qui la condamnait à se promener à moitié dénudé dans une école, tout ce qui était aussi, s'introduire chez elle et foutre le bordel, ou remplacer le sucre par du sel, ou... Le plus drôle! Cette fois ou nous l'avions attacher contre une toilette, avec du scotch-tape et de la corde... Bien sûr, nous avions barrer la porte de la cabine et la porte des toilettes au complet - et elle ne pouvait pas crier grâce au scotch soigneusement, délicatement, posé sur ses lèvres. Aaahh! Ce coup il était tellement parfait...

Maintenant, Brooke venait de pousser un petit cri de colère. Je manquais de m'étouffer avec ma salive, vous savez ce même phénomène que lorsque que vous buvez un verre d'eau et quelqu'un sort une de ces blagues, particulièrement drôles... Enfin. Elle hurla. Et, aussi, elle échappa un "espèce de sale con!" qui était à mourir de rire.

Son agressivité la perdra, cette pauvre Brooke... D'ailleurs, au contact de qui l'avait-elle gagner cette agressivité? Kathleen? Ou... Cela était probablement déjà naturel chez la petite Styler numéro deux [moi étant le un, évidemment... Évidemment.]! Bref, comme je le disais... Elle finira par se faire tuer par son agressivité. Si je n'avais pas su que la réaction de Booh-Booh - Oh putain, le surnom! Pensez à l'ajouter à ma liste de surnom pour Brooke! Je me demande comment elle pourrait réagir - aurait été aussi hystérique, on peut supposer que, je n'aurais définitivement pas été tenter d'aller coller mon immense chewing gum à la fraise sur sa nuque... dans ses cheveux. Non, je n'aurais probablement pas été tenter... Cela n'aurait pas été divertissant, de un. Et de plus, j'aurais perdu ma gomme à la fraise pour absolument rien. Cette fois-ci je l'avais perdu mais en plus d'avoir droit à un spectacle, j'avais aider l'humanité en effectuant une action que probablement des millions de gens avaient rêver de faire. Et puis... Le chewing gum n'était pas vraiment perdu, vous voyez, si Brooke en avait envie, elle pourrait toujours le re-mâcher. Un genre de... recyclage de gomme... Ouais, ouais, c'est ça! Tous les écologistes seraient probablement fiers de mon initiative!

Brooke me foutu un coup de pied dans les tibias. C'était... méchant, ça. Je n'avais pas sentit grand chose, sinon une légère pression, car la force de Brooke était comparable à celle... d'une chenille. Ou si j'exagérais un peu, à celle d'un raisin sec. Mais, bref, comme certaines personnes disaient "C'est l'intention qui compte" et j'étais prêt à parier que c'était dans ses intentions de me faire mal.

J'entrais vite dans le jeu... Que je venais de créer. Restait à voir si elle y entrerait aussi.

- Héé! Brooke! Tu viens de... me frapper!

Tous les regards étaient posés sur nous.

- Pourtant, il me semble, que je ne t'aie rien fait. Sauf ce... Chewing gum? Il est arrivé sur toi? Ohhhh! Pardon, Brooke! Je... Je... ne savais pas. Tu vois, j'étais là et j'écoutais en prenant des notes lorsque... J'ai voulu faire une bulle avec ma gomme... Et pouuuff! Le temps que je souffle, il était déjà des kilomètres plus loin. Je m'excuuuuse!

Un sourire malicieux se dessina sur mes lèvres.

- Un accident est si vite arrivé... Quand on fait des bulles avec sa gomme. Je te demande pardon Brooke.

Le prof arqua un sourcil, il était perplexe. Les avis semblaient partagés. Ceux que je ne connaissaient pas devaient probablement penser qu'il s'agissait en effet d'un malheureux accident, tandis que les autres - quoi que j'eus beau promener mon regard sur toute la classe je n'aurais pas été capable de nommer le nom de personne - qui me connaissaient mieux, du moins en rumeurs, devaient avoir compris qu'il ne s'agissait pas d'un accident. De toute façon, l'important restait dans les faits : Brooke savait aussi bien que moi que la situation ne pouvait pas être qualifiable d'accident... Non, j'avais été déposé le chewing gum dans son cou. Et il n'y avait aucune autre possibilité envisageable pour elle comme pour moi. C'était intentionnel!

Il est vrai que moi et Brooke ne nous étions jamais très bien entendus. Je me rappelais encore de ce samedi, l'année passée, le seul samedi ou je n'avais pas été en retenue... À 10 heures du matin, elle était devant la porte de ma chambre. Diiiinng dooonnnnng! Un sourire idiot était bien encré dans son visage et... Elle voulait de l'aide pour trouver sa chambre. Apparemment, elle avait sonné à n'importe quelle porte pour trouver de l'aide... Et évidemment, c'est à ma porte qu'était tombée cette extra-terrestre. Ses cheveux étaient ramassés en deux petites lulus qui lui donnait un air de gamine... Et j'avais dû l'aider, cette pauvre nulle. Que de souvenirs. Ensuite, on avait eu l'immense chance de se revoir plusieurs fois. Dans des cours... On peut partout. Et on ne s'aimait définitivement pas. Elle avait aussi rencontrer William, qui évidemment, comme toute personne possèdant un sens de logique plus grand que celui d'un pois vert, avait eu la même réaction que moi : elle était anormale. Cedrick avait aussi eu la même réaction.

PEOPLE LIFE♥ RELATION SHIP: ♥

HJ : LE TRUC DES LULUS J'ÉTAIS PAS D'ACCORD ! -.-

Oui, j’étais frustrée. Et pas seulement frustrée, j’étais inconditionnellement et irrévocablement frustrée. Et il avait ce sourire en coin. Ce sourire qui me mettait en rogne. Ce sourire que je détestais. Ce sourire que je lui rendit ironiquement.

J’avais décidé de l’ignorer depuis qu’on m’avait séquestré dans les toilettes. Pff, vous vous imaginez pas comment c’est stressant, traumatisant et désagréable de se retrouver embarrée dans les toilettes. Le concierge était passé quelques heures plus tard, déconcerté.

Je le détestais, oui, je le détestais. Et ce n’était pas l’envie qui manquait, de le surprendre par derrière et de le pousser en bas des escaliers, non. C’était d’ailleurs le scénario que j’imaginais depuis déjà un mois, tentant de me calmer. Mais cette fois-ci, non, c’en était trop.

-Héé ! Brooke ! Tu viens de... me frapper !

Oui, très perspicace mon grand, très perspicace. Oui, je viens effectivement de te frapper.

Il fit mine de s’excuser, décrétant que ce n’était qu’un accident. Oui, bien sûre. Et, évidemment, le même sourire se dessina sur ses lèvres. Raaaaah. Non, cette fois-ci, j’attendrais qu’il sorte du cours et je le pousserais du haut de l’escalier !

N’empêche, tant qu’à en faire une scène, mieux valait y aller jusqu’au bout. Surtout que ce petit jeu me plaisait plus que beaucoup. Bien que faire plaisir à cet être sordide et démoniaque ne me faisait pas du tout plaisir, je me levais de ma chaise et, sur la pointe des pieds, m’approcha pour me jeter dans ses bras.

-Je te pardonne, Nickouuuneeeet’ chéri ! C’est moi qui m’excuse. Je n’aurais pas du m’emporter ainsi. J’espère ne pas t’avoir blessé, parce que tu sais, j’aurais pu te faire du mal, et tu serais resté comme une feuille de papier froissée. J’espère que mes paroles ne t’ont pas intimidé, ou offensé.

J'eu un grand sourire en voyant le prof.