J'étais devant la porte, attendant toujours quelque chose, mais quoi. Bon, allez, on y va. Je glissais la clé dans la serrure et tourna la poigna. La porte était grande ouverte, et il n'y avait personne dans la chambre. Je me dirigeais vers le troisième lit du fond et y déposais mes valises, que je défis en m'assisant. Sauf que quand j'ouvris les tiroirs, je m'aperçus qu'il y avait déjà des vêtements. Oh non, pas une colocataire. J'avais prié pour être seule dans ma chambre, mais apparement, le fait que je n'aille jamais crut à un être supposément supérieur ne m'avait sûrement pas avantagé. Je soupirais et me levais.
-Bordel... Marmonnais-je en poussant le tiroir avec ma botte.
J'allais refermé la porte, quand un pied se glissa dans l'embrassure de celle-ci, ce qui me valut un nouveau soupir. Je lâchais la porte.