Dans l'ascenseur POV Bryan

Bon allez Abigail, bouges-toi. Il est temps de faire quelque chose de cette journée.

Je regardai par la fenêtre et vit le soleil qui éclairait avec force. Pff, de quoi me décourager à sortir. Détester le soleil était assez peu commun, je dois l'avouer, mais j'étais quelqu'un de hors norme, alors pas besoin de trop sans préoccuper outre mesure. Je me levai et me dirigeait vers les armoires. Rien. Tout était vide. Non mais quel bol, j'avais. Un léger voyage vers les comptoirs alimentaires s'imposait. Arg, la flemme. Mais mon ventre me rappela à l'ordre. Si c'est comme ça, allons-y. Je me préparai, pris mon sac et me dirigea vers l'ascenseur, attendant que celui-ci se montre. Lorsque la porte métallique s'ouvrit, je m'engageai dans l'habitacle et appuyez sur le bouton du rez-de-chaussée. Un garçon d'à peu près mon âge s'y trouvait déjà.

L'ascenseur amorça sa descente et se stoppa soudainement. Ah non, c'est pas vrai. Pas moyen de le remettre en marche.

- Ah putain.

Maudite soit cette journée.

Bryan trainait dans les couloirs ne sachant pas trop quoi faire de cette journée. Il faisait serte beau dehors, mais il n'avait pas trop envie de prendre le soleil. Il avait essayer à quelque reprise de faire du skate dans les couloirs, mais après cette fait rappelé à l'ordre plusieurs fois il avait décidé de laissé tomber. Il s'était donc aussi en plein milieu du couloir pour écouté sa musique, après quelque temps après il eu soudainement faim, appelé par les besoin de son ventre, il décida donc d'aller ce promener en quête d'un endroit pour allé manger. Pour une raison contraire à l'habitude il décida de prendre l'ascenseur, mauvaise idée, mais comment pouvait-il le savoir. Il entra donc dans cette ascenseur qui après seulement quelque seconde de marche s'arrêta. Il y avait une fille dans l'ascenseur qui comme lui attendait le moindre signe de mouvement de l'ascenseur, mais tout ce qu'ils reçurent en retour, c'est un message d'une panne qui pouvait durer plusieurs heure... Bryan qui avait faim venait de recevoir l'équivalent d'un coup de point dans le ventre.

-Comme on est coincé ici tout les deux, va bien falloir ce présenté. Moi c'est Bryan et toi?

Sur ce il s'assit dans le fond de l'ascenseur le dos collé au mûr et l'invita à faire de même, il allait quand même passé plusieurs heure dans l'ascenseur et ce sera plus confortable ainsi.

Bordel, mon petit doigt me prédisait que ça allait être long. Comme de fait, la voix -on aurait dit qu'elle parlait dans une casserole (arg, à en grincer des dents)- nous indiqua que l'attente pourrait être légèrement longue -quelques heures, nécessite, selon moi, un meilleur adverbe que "légèrement". "Atrocement", "interminablement" ou même le singulier "très" pourraient être accepté. Mais "légèrement", non là, c'était trop. Sur ce, le silence amené par la voix qui nous annonçait notre trépas -bon j'exagère un peu, mais bon- fut brusquement interrompu par le garçon qui se trouvait à coté de moi. Il se présenta. Bon Abigail, essaie de n'être pas trop acide. 4 heures dans un ascenseur avec un futur ennemi pourrait être assez long. Être amicale, ça ne devait pas être trop difficile, pas vrai? Tu étais bien capable avant.... Avant, ouais, toute une référence. Pour ce que ça donné. On aura vu des résultats plus convaincants, non? Bref, l'effort le fais mal à personne. Sauf peut-être à une désagréable fille appelée Abigail Clark.

- J'imagine. Adélaïde. Répondis-je, pour toute présentation, sans trop le regarder.

Abigail, tu es vraiment une cause perdue.... Et puis, après? Un peu de plaisir ne fait pas de tord!

Et bien sûr elle ne lui disait que son nom, il avait aussi seulement demandé son nom, mais si il serait tombé sur une grande bavarde qui aurait parti une conversation, peut-être que le temps aurait passé plus vite, mais en faite c'était mieux de même pensa t-il, sûrement qu'une personne trop bavarde l'aurait énervé à la longue. Adélaïde, c'était quand même étrange comme nom, Bryan ce demandait qui l'avait nommé ainsi. Mais ce n'était pas le plus important, le plus important c'était qu'il était quand même coincé pour plusieurs heures dans cette ascenseur. Il ne voulait pas être le fatiguant, mais il ne passerait quand même pas ces heures la à attendre sans rien faire, surtout que son I-phone n'avait plus de batterie.

-T'es ici depuis longtemps? Je viens d'arrivé et si il est pour y avoir des pannes d'ascenseur fréquemment, je vais prendre les escaliers plus souvent.

Il espérait qu'elle trouve de quoi à dire malgré l'inutilité de sa phrase car il n'avait pas envie d'un silence.

Et voilà la conversation amorcée. Je n'étais pas vraiment une personne qui aimait parler -si on exclut les fois ou l'on me provoque et que je réplique (cela peut s'avérer assez long pour mon interlocuteur, principalement si celui-ci transparaît de stupidité)- et tenir une conversation ne faisait pas parti de mes priorités. D'ordinaire, j'étais une personne solitaire -très solitaire- qui n'insultait pas sans raison. Par contre, si quelqu'un me faisait un commentaire ou autre chose du genre, je me montrais implacablement acide. Le meilleur moyen de faire planer le silence était de faire taire. Procédé par lequel j'étais assez douée, il faut dire. Le garçon tentait d'être gentil, voir amicale, afin de passer le temps.

- Non. Répliquai-je. (Non mais quand même, faut pas trop en demander.)

Tenant compte de la pauvreté de ma réponse, j'enchainai avec ceci:

- C'est la première panne dont j'ai la connaissance.

Bryan réalisa rapidement que parlé n'était pas son fort, ou du moins sa priorité car aucune conversation ne pouvait être engagé ou tenu comme ça et elle avait l'ai d'âtre au courant ou même responsable. Il n'allait pas resté la à ne rien faire ça c'était certain, peut importe si elle avait le gout de discuté ou non. Il sorti une feuille de papier plié de sa poche et sorti aussi un crayon. Il savait qu'ils allaient resté coincé plusieurs heures dans l'ascenseur et des petits jeux sur papier pourrait faire passer le temps, pour vu qu'elle participe. Il déplia la feuille et dessina deux ligne horizontal puis deux autres verticales superposé au deux premières.

-Tic-Tac-Toe, ça te dit? Si tu veux pas ça me va, mais le temps risque d'être long.

Sur ce il marqua la case du milieu d'un X et lui tendit le crayon.