Nouvel Élève [PV Hope.]

C'était une belle journée ensoleillé parfaite pour faire n'importe quoi d'autre que d'aller dans cette prison. Mais bon j'avais quand réussit mes objectifs. J'avais défénitivement eu l'attention de mes parents. La limousine avançait un peu trop vite à mon goût mes bons c'était sûrement parce que la destination n'était pas très amusante. Durant le voyage je repensai aux raisons qui m'avaient emmené ici. Je m'ennuyais de mes amis et de ma vie trépidante d'avant. New York était tellement plus excitant qu'ici. Mais bon il faut croire que je l'avais cherché. Finalement, je suis arrivé à Fichard School. En sortant de la limousine je me retournai et je dis à mon chauffeur:

-Merci pour le voyagement Smith! Tenez! Prenez cela et allez vous achetez un petit cadeau pour vous et votre femme.

Une fois entré dans cette école, je me dirigeai vers le secrétariat. En chemin, je rencontrai une fille dans les corridor. Elle portait un genre d'uniforme j'ai donc pensé qu'elle devait être sûrement un domestique. Je m'approchai d'elle afin de lui poser quelques questions:

-Excusez-moi mais j'aimerais savoir où dois-je laisser mes valises afine que vous puissiez les porter jusqu'à ma chambre. C'est la numéro 56. Oh! Et j'aimerais que vous m'apportiez mon petit-déjeuner à 8 heure demain matin. Je voudrais un oeuf tourné avec une tranche de pain multi-grain et quelques fruits frais. Merci de vous en charger.

Que ce ne fut pas ma joie lorsque je découvris, hier soir, un sac avec des vêtements sur mon lit. Je savais déjà ce qui s’annonçait : Journée Inspection. Et lorsque ces personnages de la plus haute importance débarquaient dans cette école, cela signifiait qu’on était prié de bien vouloir mettre cet affreux uniforme sous peine de retenue. C’est en pestant contre le fabricant de ce tissus qui gratte que j’enfilai tranquillement ma jupe bleu marine et mon polo tout aussi foncé. Une chance, on pouvait garder nos propres souliers. Je lassai tranquillement mes converses avant de remonter les bas blancs sur mes mollets. Je laissai mes cheveux lousses, pas la peine d’avoir l’air d’une vraie collégienne en en faisant plus. Je plaignais les gars de l’école. Les pantalons devaient les faire souffrir. Au moins, j’avais les jambes à l’aire.

C’est en dormant sur mon bureau que je commençai la classe. Je m’étais tuer hier à trouver quelque chose à manger, la cafétéria ayant décidé de fermer, et j’ai du me résoudre à aller au dépanneur, tard la nuit, avec le risque de rencontrer un gars avec des intentions mauvaises. Mais enfin, je ne sais pas pourquoi je me suis retrouver dans le bâtiment A mais j’y suis. Ah oui… Mon professeur d’histoire m’avait demandé d’aller porter des papiers au secrétariat. Je me serrais bien passer de lui rendre se service, mais je ne pouvais pas refuser. Enfin, si je pouvais, je ne voulais juste pas me risque une retenue. Je cognai timidement à la porte du bureau de la secrétaire et celle-ci me fit signe d’entrer. Elle me fit un sourire en me reconnaissant. Il faut bien dire que mon arriver l’avait rendu heureuse : je ne lui avais pas crié dessus, je ne lui avais pas fait une scène, j’avais tout simplement été polie. Et vue que tout les profs me désigne comme étant leur messager, je la voix souvent.

Je m’empressai de lui tendre l’enveloppe avec les papiers en souriant avant de sortir de la pièce et de m’enfonçai dans le corridor. Je poussai un soupire décourager et passai ma main dans mes cheveux. Je savais bien que ce n’était pas le bon chemin pour retourner à mon cour. Mais à vrai dire, je m’en fichais. Je m’arrêtai et me retournai quand j’entendis une voix m’interpeller. Je fixai le garçon qui semblait débarquer d’un autre monde en levant un sourcil. Est-ce que je ressemblais à une employée moi? Bon. Avec cet uniforme, peut être. Mais quand même! Je n’étais pas si vieille.

-Premièrement, je ne travaille pas ici. Deuxièmement, un œuf tourné? Ew. Même mon chien à des meilleurs goûts! Même s’il est mort… Troisièmement, pour tes valises… Il y a une magnifique invention qui s’appelle le faire soi-même!

dis-je en prenant un air joyeux, comme si je venais d’avoir une révélation.