FICHE DE PRÉSENTATION

le nécessaire,,

PRÉNOM & NOM ; Christofer Brown
DATE DE NAISSANCE ; 4janvier
ANNÉE SCOLAIRE ; Sophomore year
LIEU DE NAISSANCE ; Manhattan
GROUPE ; VANDALISME


lui

SON HISTOIRE ;
** si vous reconnaissez des paroles de chansons , c'est normal. j'ai décider d'en intégrer dans mes textes, normalement au début ou à la fin d'un paragraphe. **

Midnight rush with a pen in my hand,,


Il est minuit passé, j'arrive pas à m'endormir. J'ai tout essayer ; sur le dos, à gauche, à droite, les pieds en l'air. D'habitude, lorsque j'ai de la difficulté à m'endormir, j'écris. J'écris à propos de ce que je pense, de mes opinions. Parfois sur ceux que j'aime ou que je déteste, sur ceux que j'envie. Ce soir, par contre, j'ai envie de chanter, de danser. Oui oui, moi, Christofer Brown, ait envie de danser. Je pris donc mon habituel carnet de notes et posa mon Sharpie noir sur la page blanche. Les mots se bousculaient dans ma tête, trop d'idées. L'amour, la mort, l'euphorie ou la dépression ? Ces sujets, je les connaissais tous. Je n'ai pas l'habitude d'écrire des mélodies, des airs musicaux entrainants qui font danser les jeunes filles (ou les vieilles). Une heure et quart du matin, j'ai terminé la première chanson. Je la chante, je crée un air en tapant sur mon ventre en produisant quelques petits bruits pour donner du rythme. Une heure et demi, j'entame la deuxième. Les mots viennent plus facilement, plus naturellement. Je découvre un talent, une oreille musicale, dont je ne connaissais point l'existence. Deux chansons, trois chansons, quatre chansons. Chacune d'elle représente quelque chose, un souvenir ou un rêve. Chacune d'elle me rappelle ma raison d'être.

Follow me, follow me, falalalala,,

Le lendemain matin, je suis mort. D'habitude, j'écris pendant 15 minutes et mes paupières s'engourdissent mais ce soir là, j'ai découvert un talent , une passion. J'ai été emporté par l'écriture, par les mélodies qui jouaient dans ma tête. Je me lève, je suis en retard. Je viens à peine de me réveiller et le stress m'a déjà envahi. Je dois prendre ma douche, me ''préparer'' , déjeuner, me brosser les dents et partir en vitesse jusqu'à mon arrêt d'autobus. Je suis cerner à mort, j'ai abandonner l'idée de placer mes cheveux avec un minimum de classe. J'arrive à l'école et qui vois-je ? La fatigante qui me suis partout. Je suis déjà en couple, mais elle persiste à me suivre et à vouloir sortir avec moi. Pour l'agacer, je prend ma copine par les hanches et la serre fort dans mes bras, souriant à l'autre. ELLE NE PART PAS. J'amène ma douce plus loin, question d'échanger de la salive plus loin, à l'abri des regards.

I wish you could feel that my love is real,,

Je l'amène plus loin, dans un corridor ou peu de gens passent. Je sens que quelque chose la préoccupe, mais c'est toujours comme ça. Je n'essaie même plus de l'aider, la plupart du temps ça termine en grande chicane. Elle soupire, me regarde dans les yeux et me dis, sèchement, la phrase la plus angoissante du monde ; Je dois te parler. Mon cœur s'arrête de battre pour un instant, cette phrase, je la déteste. Elle n'est jamais porteuse de bonne nouvelles, toujours des mauvaises. Une larme coule sur sa joue, la joie totale donc.

'' J'ai réfléchie la nuit dernière. Toi et moi, on est pas fait l'un pour l'autre. Je t'aime, sérieusement. Mais... Quelque chose m'empêche de me confier, de m'ouvrir et pour moi, c'est crucial. Je suis désolé...''

Sans que je puisse réagir ou m'expliquer, elle partit, me laissant là, seul, rempli de pensées incompréhensibles.

Love is dead, love is gone, love don't live here anymore,,


Les semaines suivantes furent de simples désastres. Sans savoir pourquoi, j'étais anéanti. Sa présence me manquait énormément, pour ne pas dire trop. Chaque nuit, j'écrivais une chanson. Une chanson sur elle, sur moi ou sur nous. Une chanson sur notre histoire, notre amour, notre rupture. Une chanson triste ou une chanson joyeuse. Tout simplement, une chanson. Mes amis et amies supportèrent l'être agacé, enragé et dépressif que je devenais peu à peu. Tout cela ce faisait sous mes yeux , sans que je ne puisse changer quoi que ce soit. Ma destruction, ce désastre qu'était ma vie à ce moment. Cette rupture plus douloureuse que j'aurais pu imaginé, cette rupture qui m'effaçait lentement mais surement.

She crawls into the window, through shapes and shadows,,

Chaque soir, les rue et ruelles de Manhattan s'ouvrirent à moi pour me donner le courage et la force de continuer. Les lumières et les voitures me fascinaient, me donnait l'inspiration d'écrire. Chaque aspect de la ville me donnait une idée, une base. Mes chansons devenaient, selon moi, de plus en plus intéressantes. Chaque petit détail de ma vie se transformait en parole mélodieuse enfoui dans mon petit carnet qui devenait peu à peu rempli de textes venant de mon imagination, des textes qui envahissaient mon esprit. Je me faufile dans les endroits qui m'inspirent, la plupart du temps ou je ne devrait pas être.

I just know we can't be over, I can see it in your eyes,,

À chaque fois que je te croise, mon cœur s'emballe comme auparavant. Quelque chose en toi fait qu'il m'est impossible de t'oublier. Ton sourire, tes yeux, tes lèvres. J'ai l'impression que l'on aurait du rester ensemble et j'ai l'impression que c'est ce que tu penses aussi. Chaque fois que je te vois, tu me regardes. Tu me regardes comme tu le faisais avant de m'avouer ton amour. Pourquoi alors, me causer autant de mal ? Pourquoi m'as tu laisser seul dans ce corridor, sans mots ? I love you so much I hate you.

Just dance, spin that record babe,,

Je dois me sortir de cet enfer qu'est l'école. Devoirs, devoirs, devoirs, c'est tout ce que je fais. Lorsque j'ai une soirée de libre, la fatigue prend le dessus et je m'empêche de sortir. Peut-être que sortir et faire la fête m'aiderait à l'oublier, à passer à autre chose ou à rencontrer quelqu'un d'autre? Peu importe, je dois trouver un moyen de faire quelque chose. LIVE, LAUGH, LOVE après tout, non ?

Live,,

Vivre ma vie à fond, sans jamais m'arrêter. Foncer sans jamais se retourner, repoussant tout obstacle qui se trouve sur son passage. En voir de toute les couleurs, excluant le noir et le gris. M'entourer de gens qui m'aiment, qui m'apprécient pour ce que je suis et ce que je vaux. This is my heart, and I won't allow the disrespect. À quoi bon souffrir et perdre son temps ? Il passe si vite, sans qu'on puisse y revenir. Les souvenirs anciens laissent place aux nouveaux qui deviennent très rapidement eux aussi, anciens et oubliés. En profiter au maximum, sans limites, sans peur, [/b]live your life.[/b]

Laugh,,

Rire des autres, rire de soi. Le ridicule ne tue pas, c'est aussi bon pour soi-même que pour les autres. S'amuser, entre amis, jusqu'aux petites heures du matin. Fêter, boire, aimer, ces plaisirs de la vie qui, la plupart du temps, remontent le moral. I say DJ turn the music up. Retrouver la joie de vivre, quoi.

Love,,

Ces petits papillons que l'on ressent lorsqu'on voit la personne que l'on adore ou que l'on a perdu. Le sourire de ta moitié qui te rend le tien. Ce sentiment qui ensoleille ta journée, même dans les moments les plus dur. Ce sentiment qui te pousse à faire des choses inimaginables, qui repousse tes limites. Tout se fait par amour, tout y est relié. L'amour paternel, l'amour maternel , l'amour fraternel ou l'amour tout court, il suffit d'une petite parcelle de ce cadeau empoisonné pour y devenir dépendant, accro. C'est lorsqu'on perd ce fragment de bonheur que les papillons s'envolent et laissent place à l'orage. Son sourire te rend triste puisque le tien n'est pas revenu. Cause when a heart breaks no it doesn't break even.

Let's have some fun this beat is sick,,

J'ai enfin réussi à sortir de ma routine ennuyante rempli de travaux qui n'en finisse plus. Pour une des première fois, j'ai accepter une invitation a un party et ai laissé tombé mes devoirs. Une grosse fête, il parait. En fait, c'est ce qu'on m'as promis. Il m'as dis ;

'' Si tu viens, c'est sur que plusieurs autres personnes voudront venir! ''

Il m'a presque supplier, le pauvre. J'y ai réfléchi et j'ai décider d'accepter. C'était un vendredi soir. On promettait alcool, musique et fun, trois choses qui me plaisent assez. La maison était remplie à bloc, les autres presque tous saoul, dansant , chantant et buvant inconsciemment. J'allais m'amuser , mais avec modération. Enfin, ça, c'est que je croyais. Les verres volaient de partout et la tentation était trop grande ; boire ou... boire. Rapidement, tout le monde était saoul, mais vraiment tout le monde. C'était le chaos total, l'euphorie désastreuse. Les quêteurs hurlaient des paroles de chansons incompréhensibles et je du prendre l'air à l'extérieur pour reprendre mes esprits. Je m'attendais à être seul, mais un groupe d'ados vinrent me voir. Je ne crains personne, c'est dans ma nature. Même si parfois je devrais, je n'y arrive juste pas.C'était clair comme l'eau de roche qu'il n'allait pas me demander d'aller jouer au parc. Ces gars la manigançaient quelque chose et leur petit jeu était facile à repérer. Même si je voyais leur petit plan, l'idée de me joindre à eux et de faire le fou ne me déplaisait pas. Celui qui semblait être le ''chef'' , celui qui mène le groupe, s'approcha de moi et me demanda ;

'' Sa te dirait une petite promenade dans les ruelles, question de laisser notre trace ? ''

'' Quelle genre de trace ? ''

'' Du genre en canne, de la peinture en canne. ''

'' Tant qu'on ne se fait pas prendre, je suis partant. ''

'' T'inquiète, c'est pas la première fois qu'on le fait. ''

Le groupe se dirigea vers les petites ruelles près de la maison et je ne fis que le suivre. Enfin arrivé au point qui, selon eux, était parfait, ils sortirent leurs peinture en aérosol.

'' Sois créatif, sers toi de ton imagination ''

Peu à peu, le mur était rempli de symboles et de dessins indéchiffrables, que même moi, encore saoul, avait de la misère a décoder. Après une bonne heure de barbouillage, notre groupe recula tranquillement pour admirer le chef-d'œuvre. À peine après une minute de contemplation , une lumière se pointa sur nous. Aveuglés par la lumière pointant mon visage, j'entendis une ruée de pas courir dans la direction inverse à la lumière. Encore trop étourdi, l'action de fuir m'échappa et je restai planter la, à regarder la lumière.

'' Approche et mets tes mains derrière ton dos. ''

Cette phrase fut le commencement d'un enfer. Tout se déroula si vite, les accusations, les décisions.

'' Christofer Brown, nous avons décidé de laisser tomber les heures communautaires. Par contre, nous avons décidé de t'envoyer à Fichard. ''

Get back on my feet again. is this real, is this pretend,,?

Me voici, encore jeune et insouciant, devant la grande école de Fichard. Jamais je n'aurais cru partir de mon ancienne école à cause d'un incident comme celui-là mais avec le temps, je me suis fais à l'idée que c'était peut-être pour le mieux... Je tenais la seule bretelle de mon sac , l'autre pendouillant , avec mes deux mains. Normalement, je suis le genre de gars qui connait tout le monde mais à ce moment là, personne ne me connait. Personne me suivra partout, personne ne m'aimera, du moins pas le premier jour. Du haut de mes 5 pieds 9, je me sentais minuscule. Pourtant, je n'avais aucune raison d'avoir peur. Je veux dire, je me trouve assez séduisant, du moins je crois ? Je m'entraîne, donc ça aide à se faire connaître j'imagine. Il faut dire que mon visage n'a rien de spécial, peut-être à pars mes yeux bleus. C'est ce que l'on remarque en premier chez moi la plupart du temps ; mes yeux. J'ai les cheveux bruns, souvent placés avec du gel, rien de bien spécial. Aucun signe d'acné, les boutons sont très rare sur mon visage, un bonus selon moi. Je m'habille avec ce que j'aime, ce que je trouve. Bien souvent en jeans avec un chandail quelconque, manche courtes ou longues, chemise ou polo. Ce qui fait mon charme est , selon moi, mon attitude, mes qualités. Je suis quelqu'un de fonceur, créatif. Je n'ai pas peur d'exprimer mes idées et si par malheur tu ne les aimes pas, tant pis. La plupart du temps, je suis aimable, gentil et généreux. Je n'aime pas montrer mon côté sensible, mais s'il faut , j'en suis capable et je l'assume. Certaines personnes me trouvent exceptionnel , d'autre détestable, les goûts sont dans la nature. Je suis assez confiant, du moins c'est ce que je démontre, et certaines personnes n'aiment pas cela. Je n'ai peur de rien ou presque, un défaut dans mon cas. Parfois, je devrais réfléchir d'avantage et penser aux conséquences plutôt qu'a mes chansons et à ma guitare. Même si la musique prend désormais une grande place dans ma vie, je n'ai pas oublié les autres points d'intérêts. C'est moi, Christofer Brown, love me or hate me.



la vrai vie,,

PRÉNOM ; fred, retenez le.
Comment as-tu connue le forum? ; j'étais sur l'ancien Fichard && je suis revenu.
Personnage Sur L'Avatar ; ; James Marsden

Bienvenue!

Rebienvenue alors. ^.^

Pour le code, si j'étais toi, j'irais voir les réglements.

Bienvenuue

Ryan Burton a écrit:

Bienvenuue!
Pour les paroles de chansons, au fait, j adore le concept [tant que tu as du gout musical XD]!

Hehe, les goûts sont dans la nature! mais bon, j'écoute un peu n'importe quoi.

Surtout du Lady Gaga. ¬¬ XD

Bienvenuuue !

Bienvenue au nouveau Brown... Pas de lien de parenté... Lol

Voilà , c'est terminer! Si c'est trop petit, dite moi le , j'agrandirai. J'ai aucune idée si j'aurai assez de place sur un post si je dois agrandir mais on peut toujours s'arranger. (: