Après que le jugement sois tombé Michael s'était vue offrir le choix entre ce mélange entre une prison et une école pour délinquant ou un centre de détention pour mineur,un vrais centre de détention pour mineur.En ce moment il se faisait transporter de rues en rues notant tout,chaque nom de rue,chaque tournant et tout ce qui se trouvait sur la rue.C'était important pour un voleur de savoir ou sont les choses...

Il arrivait tout juste devant l"école" Fichard .Il observait les élèves a l'entrée extérieur et se dit intérieurement que les filles de l'école semblaient être plutôt jolie.Puis il sourit en coin sachant qu'un des policiers allaient être trop crétin pour se taire et ne pas faire part de son point de vue envers le prisonnier que michael était...

-Non mais t'a vue les meufs Night ?! Si tu peu plus voler ici tu va te plaire a baiser !

Michael lui offrit un sourire en coin durant lequel il lui déroba les clés pour mieux se libéré des menottes qui étaient attaché a ses poignets de dos.

-Je peux sortir sans menottes non ?

-les règles sont les règles...désolé Night et on nous a dit de ne pas te libéré avant que tu sois dans la place principal

-D'accord...

Puis la voiture s'immobilisa soudainement et Michael agrippa les menottes afin de faire croire qu'elles étaient toujours attaché...

Puis les deux Policier sortirent l'un afin de faire sortirent Michael de la voiture et l'autre afin de sortir un sac de l'armée qui contenait le stricte minimum de Michael .En faite Michael n'avait toujours que le stricte minimum.sur lui puis Michael une fois sortie de la voiture donna le menottes au policier et celui ci soupira de désespoir.Michael prit son sac et dit :

-Pourquoi tu soupire je ne suis plus votre problème maintenant pas vrais ? Vous retournez a San Francisco maintenant...

-Tu as tout a fait raison...Mais j'ai pitié pour eux

Puis Michael pénétra l'école et s'assit sur un banc observant tout le monde avec son sac dans le dos.Il observait les filles,les garçons qui tournait autour de celle-ci.Il notait chaque entrée et sortie ainsi que chaque fenêtre.Le Nom de "Night" était connu assez célèbre comme étant l'un des plus grand voleurs sinon le plus grand de tout San Francisco mais son vrais nom et son visage n'était pas connu vue qu'il n'avait jamais été arrêter auparavant.

Stupide psychologue... Si elle pensait qu'elle allait s'en sortir comme ça, c'est qu'elle était encore plus bête que je ne le pense. Oui, psychologue, parce que mettre une claque à un imbécile était supposément un geste violent, blessant et irréparable qui vallait une consultation chez la psy, et sur une base régulière en plus. Je n'avais pas besoin d'une psychologue, je m'étais débrouillée pendant un peu plus de dix-sept ans sans personne pour m'aider, et ce n'était pas une psychologue à la noix qui allait boulverser ma vie !

Donc, pour en revenir aux faits, j'avais eu ma première consultation, où j'avais complètement ignoré la dame à l'air enjoué qui se trouvait devant moi à me poser des questions. Finalement, j'ai répondu à ses questions débiles et, enfin, j'ai pu partir. Sauf que je ne comptais pas en rester là. Si elle comptait aller donner son foutue rapport à la secrétaire, elle devrait me passer sur le corps avant. Mes lunettes de soleil sur le nez, je suivis donc la psychologue de loin. Le bruit des talons qui claquaient sur le plancher m'amusa légèrement.

Elle finit donc par entrer dans le secrétariat. J'attendis qu'elle s'éclipse et entra à mon tour. La secrétaire que j'avais déjà vu avant - cette vieille sorcière -, avec laquelle j'entretenais de si belles relations d'amitiés ( ironiquement parlant ) était justement entrain de classer les dossiers dans le classeur en métal. Je lui adressa un sourire froid.

-On m'a envoyé vous prévenir qu'un rat s'était encore échappé et que le concierge avait besoin de votre aide.

Elle remonta ses lunettes sur le bout de son nez, sévèrement, comme à son habitude, et quitta son bureau en gardant un oeil malveillant sur moi. Quand elle fut hors de porté, je me glissais derrière le bureau et ouvrit le classeur, avec hâte, je fouillais les dossiers commençant par A.
" Austen, Silver " apparut bien vite et je pu quitter l'endroit sordide. Les yeux rivés sur le dossier jaunis, j'allais m'assoir sur un banc, ne faisant pas attention à la personne qui siègeait à mes côtés. Puis, après avoir lu les premières lignes, je relevais la tête vers l'inconnus qui était assis à côté de moi. La première pensée qui me venue fut " Oh tiens, un nouveau. ". Puis, à force de décrire des yeux ce regard gris, noir à faire fondre et ses cheveux noirs jais, je souris. " Oh tiens, un nouveau mignon... " .

-Bonjour... Murmurais-je en retournant par la suite à ma lecture.

Michael eut un sourire en coin en la voyant arrivé et s'asseoir près de lui.Michael n'était pas du genre expressif lors des premières rencontre mais il faisait de plus en plus d'effort car il détestait ce trait de sa personnalité.Michael posait son regard tant sur la jeune femme qu'il trouvait a son gout que sur le papier qui a son avis ressemblait a un dossier du genre dossier pénitencier ou du genre scolaire.

-Salut...Tu es plutôt mignonne Michael avait pensé tout haut lorsqu'il avait prit la peine de la regardé de plus près et s'était surpris a resté impressionner par son allure...

Michael prit la peine de l'écouter parler et pour une fois il était réellement intéressé par ce quelqu'un pouvait dire

Le nouveau m'adressa la parole, ce qui me fis légèrement sourire, même que je crus entendre quelque chose que je n'aurais sûrement pas dû entendre... J'avais en fait crus entendre " Salut... Tu es plutôt mignonne. " .

-Pardon ? Demandais-je en refermant le dossier, me retournant vers lui.

Afin, qu'est-ce que ça pourrait m'apporter de toute façon, de savoir ce qu'il avait dit ou non ? Je me concentrais d'avantage sur le dossier, me penchant sur mon cas supposément désespéré. Sauf que la tâche devenait lentement insupportable... Entendre parler de moi comme ça était quelque chose d'exaspérant. Ils semblaient savoir mon enfance, ma vie, par coeur, m'avoir espionné et choisit, m'avoir suivit toute ma misérable existence. On aurait dit qu'il savait tout de moi, et ça m'éxaspérait. Ils parlaient de moi comme s'ils avaient vêcu à mes côtés, parlaient de mon enfance comme si ce n'était rien.

-Ah non, cette sale garce est allée trop loin... Je vais la tuer, et avec n'importe quoi... Qu'on m'apporte une cuillère et je la tuerai avec. Pfff... " Silver Austen est atteinte d'un très gros problème de comportement. Elle a un tempérement violent et réagit impulsivement... ". Impulsivement ? J'vais lui mettre une claque. " Elle est clairement intelligente, mais n'utilise pas son intelligence pour faire le bien. " . On se croirait dans un épisode de Star Wars. " Elle semble utiliser la violence pour s'exprimer, étant donné que j'ai remarqué qu'elle en avait beaucoup de misère. Violenter les autres semble l'amuser, voire la soulager. " . Mais quelle conne...

Ces mots m'étaient plus destinés qu'à quelqu'un d'autre, mais bon... Le reste se résumait à mon histoire, le résumé de mes conneries, l'explication de mes réactions violentes qui venait supposément de mon enfance douloureuse ( qui prenait trop pages ). Je tournais chaque page du bout des doigts, de plus en plus en colère contre cette psychologue, qui, jusqu'à maintenant, semblait voir si clair, que la voir cherchant encore ses lunettes, ou se cogner contre un mur me semblait fou, mais me rendait folle de rage.

-J'avais pensé tout haut prête pas attention.Tu es nouvelle toi aussi ? J'ai pas vue d'autre voiture de police que celle qui m'amenait ici.En tout cas à t'écouter toi tu mérites d'être ici comme quoi il y en a qui gâche leur vie et d'autres qui se la font gâcher trop jeune pour etre contient de ce qui leur arrive.

Michael avait écouter tout ce qu'elle avait dite avec attention pour mieux la cerné.Une jeune femme mal dans sa peau a cause de ses problèmes a communiquer avec les gens et cela la rendait violente.Ou plutôt elle exprimait tout la rage que cette déception lui faisait vire.Michael malgré qu'il n'était pas psychologue Michael s'attardait toujours a analyser les gens et cernait vite ceux si.

-bah prend ça du bon côté au moins elle te confirme que tu es intelligente ! Et puis c'est pas si pire la violence tu sais le problème est simplement d'arriver a cerné les gens avec qui tu peux te permettre de l'être non ?

Le nez toujours dans le dossier, je répondis, distraite, à sa question.

-Je ne suis pas nouvelle, je dirais simplement récente. Et effectivement, je mérite d'être ici, mais tout le monde ici le mérite puisqu'ils y sont, non ?

Je m'arrêtais quelques instants, m'appliquant à écouter ce qu'il racontait avec attention. Entre temps, je me retournais.

-J'espère quelle confirme que je suis intelligente, parce que je suis intelligente. C'en est rendu agaçant de croiser des élèves aussi stupides dans cette école, on se croirait au primaire, dans une classe de maternelle. Et puis, pour moi, la violence n'est pas un problème, mais une solution, j'ai grandit avec, c'est ce qui m'a aidé à gravir les échelons, à survivre, à me rendre au sommet, à enfin me libérer... Et surtout, je n'ai aucune envie de cerné les gens.

C'était vrai, j'avais grandit entouré par la violence, j'avais été capable de me faire une carapace, et le fait que, dans cette école, cette même carapace semblait ne plus être assez forte, j'avais l'impression que la pression me retombait tranquillement, mais lourdement sur les épaules. Si au moins, les gens ne faisaient pas semblant de comprendre, s'ils arrêtaient d'essayer de comprendre ce que l'on vit, de faire comme s'ils compatissaient. Je ne voulais pas de leur pitié, je voulais seulement qu'ils arrêtent de faire comme s'ils comprenaient quand ce n'était pas le cas. Tout ma vie, ou presque, j'avais vêcu dans la peur, et ça, seul peu de personne sâche ce que c'est. C'est si humiliant... Mais j'étais forte, j'avais survêcu, sans l'aide de personne, ou presque. J'étais fière. Que ce soit par la violence ou par autre chose, je m'en étais sortit. Cette peur ne m'habitais plus.

Je me repris aussitôt en main quand je sentis mes yeux s'humidifiés, puis repris la conversation.

-Silver Austen. Me présentais-je au nouveau.

-En quoi le vol est il un crime suffisant pour nous amener en ces lieux ? Je veux dire on dirait une école mais...avec des filles plus mignonne et des règles plus stricte c'est tout.Dit moi es-ce que nous avons droit a des court poussé ou c'est simplement des court tout a fait normal sinon c'est pas la peine que je m'y présente...je crois quoi que mes derniers court remonte a très loin je dois l'avouer

-Les échelons mais lesquelles ? je veux dire qu'es-ce que ça t'a fait gagné que de te battre ?De l'argent ? de la peur ?

Puis lorsqu'elle se présenta en me mentionnant son nom je lui sourit et lui offrit ma main

-Et moi c'est Michael,j'étais un voleur de renommé à San Francisco.Je suis enchanté.

Je souris, amusée, quand j'entendis les mots " avec des filles plus mignonnes ".

-Je crois que c'est parce qu'on appelle Fichard un pensionnat pour délinquants, et surtout qu'il est plus que difficile de mettre une fille dans son lit. Enfin, la plupart parce que l'autre moitié des filles agissent comme des putes... Mais mon language n'est pas très approprié, je sais parce que je suis allée en retenue pour avoir traîté quelqu'un de pute.

Puis, automatiquement, mon sourire s'agrandit.

-Avoir un tempérement violent ne rapporte pas d'argent, et encore moins de la peur. J'ai grandit. C'est tout. Je ne suis pas la seule, d'ailleurs. Il y a seulement plusieurs... Hummm... Cathégories je dirais. Il y a ceux qui prennent de la drogue, les voleurs, les meurtriers, ou simplement, les gens qui " violentent " . Moi, je suis experte dans tous les domaines, mis à part celui de la drogue. Je ne touche pas à la drogue. Nada. C'est pas pour moi, ça. Mais l'alcool, ça, c'est autre chose... Je suis probablement alcoolique d'ailleurs.

Je ne voulais pas raconter mon histoire pour l'éclairer, je le connaissais à peine... Pfff. S'il pensait que ce serait aussi facile que claquer des doigts, c'est qu'il était naïf... Et stupide... Et probablement imbécile. Mais ça se résumait tout de même de la même façon.

Puis, il tendit la main vers moi, sûrement dans l'espoir que je la sert, ce que je fis avec mon traditionelle sourire.

-Voleur de renommé ? Mais c'est que je suis avec une vedette. Répondit-elle sur un ton ironique, en portant une main à sa poitrine, faisant mine d'être étonnée, mais en souriant toujours. Je suis enchanté aussi, ou presque.