Les diaboliques retouvailles de l'impitoyable chambre 001

PEOPLE LIFE♥ RELATION SHIP: T'en penses quoi?

Chambre 001, 4h00 a.m. 31 août.

Écrasée sur le matelas de la chambre miteuse des dortoirs de Fichard que l'on m'avait octroyée, je dormais d'un sommeil presque réparateur. J'avais passé la soirée au bar du coin, pour essayer d'oublier que malheureusement malheureusement, dans deux jours, mon cauchemar recommencerait et que je me retrouverais, pour une dernière année, parachuter dans l'univers de l'école de délinquant la plus pathétique de tout le pays. Bref, il restait 365 jours avant que je puisse dégager de cet établissement pourri et que je regagne enfin ma liberté. Bref, le rêve, en ce qui m'attrait. Et je sentais que ceux-ci aller passer à une vitesse effroyablement lente. Donc, je me retrouvai donc encore dans une chambre, grande cette année-ci. Je n'en avais jamais vu de semblable, mais ne m'en plaignais surtout pas. Le seul hic est que j'allais devoir la partager avec quelqu'un d'autre encore cette année. J'avais dû le faire l'année dernière, mais j'avais eu de la chance. J'étais tombé sur Katee Miles, une fille qui partageait une partie de la vision que j'avais de plusieurs personnes. Et surtout, elle ne m'emmerdait pas. Je l'aurais volontiers reprise comme coloc cette année -après tout, sinon, j'aurais risquer de me retrouver avec une peste, une pimbêche ou une blonde, ou encore pire, les trois à la fois (Exemple: Patty Wilson). Bref, j'avais eu de la chance. Malheureusement, elle avait disparue, probablement une fugue durant l'été et personne n'avait su où ou encore pourquoi. Impossible donc, d'en faire ma coloc une fois de plus. Bien raisonné, je n'aurais qu'à la jeter dehors si jamais elle devenait ne serais-ce qu'un peu trop envahissante.

Je dormais donc, dans la tranquillité, pour apaiser le mal qui martelait dans ma tête depuis quelques heures.

Pour moi Fichard, c'était un peu comme des vacances. Oui, oui, allez passez un an dans un asile, ou tout le monde vous répète que vous êtes cinglée et vous parle comme si vous aviez 2 ans d'âge mental et revenez m'en parler après. Bien sûr c'est sans parler des couleurs pastels-mal-de-cœur de tout ce qui se trouve la-bas et des pilules dont je me suis fait le devoir de vomir chaque jour. Mais ici, personne ne le savait. Pas que j'avais peur que cela s'ébruite, ça aurait surement des avantage, mais aussi plein de complication méprisantes. Bon, tout ça pour dire que ça ne me dérangeait pas trop de me retrouver ici. C'est vrai que j'aurais préférer un château de princesse en Europe, mais bon. J'allais quand même éprouver un malin plaisir a tourmenté les habitants de Fichard.

C'est ainsi que je me retrouve dans le sombre couloir de Fichard, mes nombreux bagages dans les bras, ou trainant par terre. Je sautille jusqu'à la chambre 001, une des plus grande de l'école-merci a mes parents d'être riches et de me payer ce que je veux en échange de ma bonne conduite-. Par-contre, la seule conditions était que je devais partager ma chambre, car sinon Fichard allait manquer de place. Le niveau de délinquance monte en flèche dit donc ! Je m'arrête donc devant la chambre 001, glisse la clé dans la serrure et pousse la porte d'un rapide coup de hanche. Je traîne mes sacs jusque dans la pièce du fond, qui semble être une chambre. En effet, deux lit a baldaquin trône dans la pièce sombre. Une silhouette est allongée dans le litet semble dormir paisiblement. Dormir ? Il est quelle heure ou juste ?

Je dépose mes bagages près du lit qui restent. Bon, il est temps de faire connaissance avec ma nouvelle coloc'. Et si elle est si pire que ça, je n'ai qu'a lui dire que je suis une terrible meurtrière, ce qui est vrai, mais que je suis aussi une cannibale et que je la mangerais bien pour mon prochain repas. Le tout accompagner d'histoire macabres plus ou moins vraie. Ça devrait marcher.

-BONJOUR TOI. Criais-je en m'approchant de la fille.

PEOPLE LIFE♥ RELATION SHIP: T'en penses quoi?

Je dormais, calmement lorsqu'un son, ou plutôt un cri dans ce cas, me fit revenir à la désolante réalité. Pour moi, ce ne fut qu'un gros charabia qui entra dans une oreille et qui sortit directement par l'autre. Étant encore seulement à demi-éveillée, je ne compris rien, si ce n'est que la fille, que je présumais ma colocataire, selon ma logique implacable -oui, je sais, difficile
à battre, essayez quand même de suivre-, venais d'entrer dans la chambre comme une furie, en me réveillant, ce qui, je dois dire, ne constituais pas un bon départ pour elle, si elle ne voulait pas se retrouver sans-abri dès demain. Enfin bref, tout cela sans que ne remue le petit doigt- ou plutôt, une paupière, dans le cas présent (ce que je n'avais, on peut facilement le deviner, pas envie de faire). Je n'avais aucune intention de l'accueillir, ni de la saluer, après tout, je ne crois pas être reconnu pour mon amabilité, encore moins pour ma sociabilité. Autant qu'elle s'en rende compte tout de suite. La causerie: pas mon fort. Si on en revient à la situation immédiate, c'est-à-dire le dérangement qu'elle venait de me causer par son arrivée, et sa probable installation, nocturne. Sans bouger, je crus bon de refroidir ses ardeurs.

- Putainn, c'est la nuit ici, au cas ou t'aurais pas eu le temps de l'assimiler, pauvre tâche.
Ferme-là et laisse moi dormir.

Sans lui accorder une attention de plus, je tentai de retourner à mes rêves.

J'éclatais de rire devant l'apparente geule de bois de ma nouvelle coloc'. Sympathique la fille ! Je m'approchais en sautillant de son lit, pour voir a quoi ressemblait son visage. Je m'arrêtais, estomaquée.

Juliet Ferris. Ici, a Fichard. IMPOSSIBLE.

-Jujube la terreur ? M'exclamais-je en lui attribuant le vieux surnom que je lui avais donné.

Moi et Juilet nous connaissions depuis le primaire. On s'était tout de suite bien entendu. Ensemble, on s'amusait a traumatiser les élèves qui avait le malheur de nous connaitre. On mettait des limaces dans les sandwiches de nos camarades, enfermait les enseignants dehors, vandalisait leur voitures. L'école entière nous craignait, professeurs autant qu'élèves. On était LES terreurs de l'école. Puis j'ai du déménager. C'était comme ça avec mes parents. Dès que je semblait bien m'intégrer, on repartait. Mais Juliet avait été une des seules personnes avec laquelle j'ai noué un semblant d'amitié. Après réflexion, je n'étais même pas surprise qu'elle se retrouve ici.

PEOPLE LIFE♥ RELATION SHIP: T'en penses quoi?

Il eu un silence, pendant quelques secondes -à peine, c'était trop beau pour être vrai!-, et j'entendis, dans ma mi-conscience l'éclat de rire de la nouvelle venue. Encore un point contre elle. Dit donc, ça ne commençait pas bien tout pour elle.

C'est alors que j'entendis, ce que je ne croyais plus jamais entendre de ma vie. C'est pas vrai, pas ce nom complètement ridicule.

- Non, mais, t'es qui toi, personne ne m'a plus appelé comme ça depuis la cinquième....

Jujube la terreur? Ce surnom débile, encore teinté de la naïveté de l'enfance, personne ne pouvait s'en rappeler. Encore moins quelqu'un qui viendrait à Fichard. La seule personne qui pouvait.... D'un seul coup, je fus tiré de mon sommeil, plus réveillée que s'il avait été onze heure du matin, et j'ouvris grand les yeux.

Non impossible, ce ne pouvait pas être...

Ambre Windsor.

- Quoi?! Non mais, qu'est-ce que tu fous ici, putain?! Dis-je sans masquer ma surprise.

Devant sa réactions, une réaction typique de Juliet Ferris-déjà, au primaire, elle avait un faible pour les jurons-, j'éclatais de rire. Quelle drôle de situation ! Après tant d'année, on se retrouvait dans la même école de délinquants, dans la même chambre, coloc.

-SURPRISE ! Non, mais tu sais, moi, j'ai toujours été une incomprise...Déclarais-je sur un ton évasif. Mais, moi, je ne suis pas du tout surprise de te trouver ici. J'ai toujours su que tu finirais en prison.

Je riais toujours lorsque je me débarrassais de mon manteau en dénouant mes cheveux. Je songea alors que je prendrait bien un café ou au moins un chocolat chaud, pour me rafraîchir les idées et chasser la fatigue que j'éprouvais. Cela dit, je grimpa sur le lit, devant une Juliet bouche-bée et surprise, elle aussi, de me retrouver ici.

PEOPLE LIFE♥ RELATION SHIP: T'en penses quoi?

Non, mais, c'était quoi, une blague? Quelles étaient les chances que moi, Juliet Ferris, se retrouve dans la même chambre, à Fichard, qu'une amie d'enfance -la seule, aussi, probablement? Je dois prédire qu'elles devaient frôler le zéro absolu. Et dire que la dernière fois qu'elle l'avait vu, Ambre portait encore des queues de cheval de chaque coté de la tête et dépassait à peine le seuil des quatre pieds. Impossible, c'était tout bonnement impossible. Même si, déjà jeune, Ambre avait un goût marqué pour les ennuis, je n'avais jamais pensé qu'elle pourrait finir ici, parmi les Fichardiens.

- J'arrive pas à y croire, bon sens. Toi, ici? Qu'est-ce que t'as bien puis faire pour te retrouver à croupir ici?

Encore bouche bée de revoir Ambre, après toute ses années, j'en avais oublié qu'il était près de 4h00 du matin et qu'elle venait de débarquer comme si de rien n'était.

Tiens tiens... Mais que faire en cette premièere journée de cette nouvelle année scolaire... Je pourrais bien innogurer ça avec une visite èa Juliet! Je suis certain qu'elle en sera TRÈS ravie.

Je lâchai ma guitare et mon crayon pour me lever du lit j'étais parresseusement étendu depuis le début de la journée - il faut souligner qu'il est 3h de l'après-midi... ou presque! Je me résignai èa me mettre un chandail, car les réglements stipulent qu'il est obligatoire d'en porter un pour se promener dans... Non mais depuis quand je respecte les règlements moi? Bon okay... C'est parce que c'est la première journée d'école! Hop, le chandail par dessus la tête. Pas mal, le t-shirt noir!

C'est seulement une fois dans le corridor que je réalisai qu'elle pourrait bien être dans une autre chambre... On sait jamais, avec les colocataires et tout ça... Bah... Au pire je tombe sur une nouvelle fille a énerver... ou a draguer, dans le pire des cas, vous savez.

Bon ça y est... En marchant, c'est la petite chanson des Shtroumph qui m'entre dans la tête... En plus, je sais même pas comment ça s'écrit... Je soupire de lassitude et m'arrête enfin, au plus grand bonheur de ma fierté musicale, devant la porte de la chambre 001.

''Juliet, me voila!'' pensais-je.

Je toquai deux ou trois coups... Bon okay peut être dix, qui causèrent un vacarme monumental, je dois l'avouer, avant d'ouvrir la porte, comme a mon habitude. Charmante habitude, soit dit en passant.

- Bonjour Juliet! Bon été? Oui moi aussi c'est certain... Tu m'as manqué, tu sais! Ah oui.. Je sais que je t'ai manqué aussi...

Je fis un sourire angélique. Quand j'ouvirs les yeux, c'est pas exactement devant Juliet que je me retrouvai... Mais plutôt devant DEUX Juilet...

Définition d'une Juliet: Fille folle et en colère.

Alors oui la fille nommé Juliet était bel et bien la, mais aussi une autre juliet, c'est èa dire une autre enragée. Vous comprenez... Le nom Juliet est maintenant devenu un qualificatif... Pas nécéssairement avantageux, selon moi. Quoique... Une fille en rogne au lit ça a son charme... Parfois la violent ça met du piquant...

Bon okay Jared... Dit quelque chose pour arrêter de fantasmer sur elle dans sa face.

- Je euh... Vous allez bien?

Autre sourire.

(Vous avez pas mis de PV... Vous l'aurez voulu! )

Alors voilà que j'ouvrais la bouche pour répondre a Juliet. Mais avant que mes cordes vocales puissent émettre un seul son, un vacarme épouvantable se fit entendre de l'autre côté de la porte. Bon sang, il était 4 heures du matin ! Qui d'autre, à part moi, pouvait bien déranger les gens à une heure aussi avancé de la nuit ? Soudainement en colère, je me levais brusquement du lit, bien décider à régler son compte au malheureux qui osait nous déranger. Mais pour qui il se prenait celui la.

Je comptais aller l'accueillir en ouvrant la porte et en balançant un joyeux coup de poing devant moi, mais le "vandale" me devança. Il ouvrit brusquement la porte, le sourire fendue jusqu'aux oreilles. Ais-je vraiment besoin de vous dire que ma frustration envers le nouveau venu ne fit qu'augmenter de plus belle ?

- Bonjour Juliet! Bon été? Oui moi aussi
c'est certain... Tu m'as manqué, tu sais! Ah oui.. Je sais que je t'ai
manqué aussi...

Alors qu'il babillait tout seul, Juliet, elle, ne semblait pas vraiment contente de le voir. Elle abordait son habituel air froid et antipathique-qui n'avait pas changer depuis toutes ses années-, mais on pouvait lire aussi sur son visage une frustration et une exaspération sans faille. De sa réaction, et selon les paroles du nouvel arrivant, je pu en déduire qu'ils se connaissaient. Son petit ami ? Non, surement pas, ça ne collait pas avec la Juliet que j'avais connu, ni même avec celle qui était présentement devant moi. Surement juste un débile qui la harcèle.

Bon, le temps est venu de prendre les choses en mains. Je rejeta mes cheveux en arrière, alors qu'il nous demandait si ça allait. Était-il sérieux ?

-Compte tenu du fait qu'on s'est fait interrompe en pleine conversation par un idiot, qui aurait, soit dit en passant, pu attendre une heure décente avant de venir nous harcelé. Il faut aussi dire que ce même idiot n'y est pas aller de main morte ! Il a créer un véritable vacarme qui a probablement réveillé toute l'école. Alors non, je pense que ça ne va pas BIEN.

Bouché. Ambre: 1, Idiot : 0.

PEOPLE LIFE♥ RELATION SHIP: T'en penses quoi?

Alors que je m'attendais à une réponse d'Ambre, quelle ne fut as ma surprise de voir Jared Withlock entrer dans ma chambre comme si ça avait été la sienne *ironie*. Maintenant que j'y pensais, il en avait mis du temps avant de venir m'emmerder! Quoi de mieux pour commencer l'année qu'une visite de Withlock? Non, non, je vois rien de mieux. Vraiment, il aurait pu se retenir.

Je soupirai, me rappelant qu'il y avait moins de 10 minutes, j'étais en train de dormir. Mon quota de tolérance au monde avait été atteint: 2 personnes avec moi à quatre heures du matin. Comme vous le voyez, mon anti-socialisme n'avait pas miraculeusement changé au cours de l'été.

Et Withlock commença à parler. Non, mais il était encore aussi emmerdeur que dans mon souvenir. Il avait toujours son expression détaché, ironique. Parfois, j'étais vraiment tentée de lui mettre un coup de poing dans la gueule. Il ferait pas mal moins le macho après. Sans compter l'immense satisfaction personnelle que cela m'apporterait...
[center]
Et ce fut au tour de Ambre de se lancer dans un monologue qui visait à faire taire le nouvel arrivant. Je ne l'écoutai qu'à moitié, profitant de l'occasion pour me laissé tomber sur le lit, sur le dos. Après tout, tant qu'à se faire emmerder, autant être confortable. Je les regardai à peine, mais assez pour savoir que ça allait pas être la joie.

- Oh, putain. Dis-je, en soupirant.

Ils peuvent pas se la fermer ou quoi!

- Withlock, quelle surprise. T'avais pas de fille à sauté ce soir? Il me faut que tu viennes m'emmerder? Dis-je, avec un air innocent.

Avec une impression de déjà vu, j'allai me laisser tomber sur le lit de Juilet, juste à côté d'elle. L'autre gonzesse dans la chambre, je m'en foutais pas mal, à vrai dire. Je l'ignorai superbement, ne laissant pas ses propos m'atteindre.

Rêve toujours, ma vieille! Jared: 8 000 000, L'autre gonzesse: 0/grosse bublle/rien du tout/elle a perdu d'avance.

Je tournai la tête vers Juliet avec un sourire faussement charmeur. Je savais déjà que je n'avais aucun effet immédiat sur elle. Alors pas la peine de m'essayer à être sérieux.

- Mais c'est toi, que je viens sauter, ma chère. Qu'est-ce que je ferais ici, sinon?

Je me tournai sur mon côté, face à elle, et glissai une main sur sa joue avec un air aguicheur. ET par instinc de survi, ne voulant pas mourir sur le champs, je me levai et dégerpit en direction de la porte, ma seule sortie de secours dans cette chambre.

- Non en fait, je venais simplement véréfier que tu étais toujours dans cette chambre. Moi aussi je suis dans la même que l'année dernière, même si nous avons un nouveau colocataire. Ça me fera un plaisir de t'y reçevoir, tu sais. Ne te gênes surtout pas pour venuir faire un petit tour!

PEOPLE LIFE♥ RELATION SHIP: T'en penses quoi?

Ce qu'il me gonflait. Je me demande pourquoi il arrive toujours au moment ou j'ai le moins envie de le voir se pointer.

- Withlock, si tu veux quelqu'un a sauté, vas dans la chambre d'à coté. J'te jure, rien que des pauvres cruches. Tu t'entendrais bien avec elles, je t'assures.

Je vis Withlock s'allonger coté de moi, dans mon lit. Non, mais qu'est-ce qu'il fous, celui-là? Il joue vraiment avec le feu, ce mec! Et voilà qu'il mettait sa main sur ma joue, avec son attitude de je-suis-un-séducteur-personne-ne-me-résiste -ouais, on voit tout de suite qu'il a des problèmes, hein. Avant que j'aille eu le temps de réagir, il bondissant hors de mon lit, pour aller se poster près de la porte.

Oh le pauvre petit, il a peur pour son petit cul.

Ambre se tenait à la même place que tout à l'heure et regardai celui qu'elle ne connaissait pas encore d'un air mauvais, du genre "sors de ma chambre, pauvre naze".

Sur ce, je me relevai et lançai un regard de menace à Jared. Il venait de se mettre dans l'eau chaude.

- Ne t'avises plus de refaire ça. Et puis, Withlock, ne prends pas tes rêves pour des réalités. Dis-je, avec un sourire tout ce qu'il y avait de plus ironique.